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Alimentation

Additifs alimentaires

LISTE COMPLETE
Voici maintenant la liste qui se veut exhaustive (mais qui ne l’est pas) de tous les colorants, conservateurs, antioxydants, émulsifiants et additifs que l’on peut trouver sur le marché alimentaire Français et Européen. Ils sont au nombre de 150.

E100
Type : Colorant.
Nom : Curcumine.
Couleur : Jaune.
Remarque : Produit naturel (curcuma) ou produit chimique. Innocuité toxicologique.

E101
Type : Colorant.
Nom : Lactoflavine (Riboflavine).
Couleur : Jaune.
Remarque : Produit naturel (lait, foie, jaune d’oeuf) ou produit chimique. Innocuité toxicologique.

E102
Type : Colorant.
Nom : Tartrazine.
Couleur : Jaune.
Remarque : Produit chimique dangereux pour la santé. Risque important d’allergie.

E103
Type : Colorant.
Nom : Chrysoïne S.
Couleur : Jaune.
Remarque : Produit chimique dangereux pour les enfants. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E104
Type : Colorant.
Nom : Jaune de quinoléine.
Couleur : Jaune.
Remarque : Produit chimique. Innocuité discutable. Suspect. Dans le doute, s’abstenir.

E105
Type : Colorant.
Nom : Jaune solide.
Couleur : Jaune.
Remarque : Produit chimique dangereux. Risque d’allergie grave. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977

E110
Type : Colorant.
Nom : Jaune orangé.
Couleur : Orange.
Remarque : Produit chimique dangereux. Risque d’allergie grave. A éviter absolument.

E111
Type : Colorant.
Nom : Orangé GGN.
Couleur : Orange.
Remarque : Produit chimique dangereux. A ne pas consommer. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E120
Type : Colorant.
Nom : Cochenille. Acide carminique.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit naturel (insecte) ou produit chimique. Risque d’allergie non négligeable. A éviter pour les enfants.

E121
Type : Colorant.
Nom : Orseille orcéine.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit naturel (Lichen) ou produit chimique dangereux. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E122
Type : Colorant.
Nom : Azorubine.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit chimique. Innocuité discutée. S’abstenir pour le moment.

E123
Type : Colorant.
Nom : Amarante.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit chimique très dangereux. Risque d’allergie ; serait cancérigène. Interdit en France.

E124
Type : Colorant.
Nom : Rouge cochenille A.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit chimique dangereux. Risque d’ allergie. A éviter

E125
Type : Colorant.
Nom : Ecarlate GN.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit chimique. Risque important d’ allergie. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E126
Type : Colorant.
Nom : Ponceau GR.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit chimique. Risque important d’ allergie. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E127
Type : Colorant.
Nom : Erythrosine.
Couleur : Rouge.
Remarque : Produit chimique. Innocuité controversée. Suspect. Dans le doute, s’abstenir.

E130
Type : Colorant.
Nom : Bleu anthraquinonique. Bleu solanthrène RS.
Couleur : Bleu.
Remarque : Produit chimique. Controversé. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E131
Type : Colorant.
Nom : Bleu patenté V.
Couleur : Bleu.
Remarque : Produit chimique. Innocuité mal connue.

E132
Type : Colorant.
Nom : Indigotine. Carmin d’indigo.
Couleur : Bleu.
Remarque : Produit chimique. Innocuité mal connue. Dans le doute, s’abstenir.

E140
Type : Colorant.
Nom : Chlorophylles.
Couleur : Vert.
Remarque : Produit naturel (plantes vertes). Innocuité toxicologique.

E141
Type : Colorant.
Nom : Complexes cuivriques des chlorophylles et des chlorophyllines.
Couleur : Vert.
Remarque : Produit chimique. Innocuité mal connue. A éviter

E142
Type : Colorant.
Nom : Vert acide brillant BS. Vert lissamine.
Couleur : Vert.
Remarque : Produit chimique. Serait cancérigène. A éviter

E150
Type : Colorant.
Nom : Caramel ammoniacal.
Couleur : Brun.
Remarque : Produit naturel (sucre). Innocuité mal connue. S’abstenir.

E151
Type : Colorant.
Nom : Noir brillant BN.
Couleur : Noir.
Remarque : Produit chimique certainement toxique. A éviter

E152
Type : Colorant.
Nom : Noir 7984.
Couleur : Noir.
Remarque : Produit chimique dangereux. Interdit en France. Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

E153
Type : Colorant.
Nom : Charbon végétal. Carbo medicinalis vegetalis.
Couleur : Noir.
Remarque : Produit naturel (végétaux). Innocuité toxicologique.

E160
Type : Colorant.
Nom : Caroténoïdes.
Couleur : Nuances diverses.
Remarque : Produit naturel (plantes). Innocuité toxicologique.

E161
Type : Colorant.
Nom : Xanthophylles.
Couleur : Nuances diverses.
Remarque : Produit naturel (plantes). Innocuité toxicologique.

E162
Type : Colorant.
Nom : Bétanine. Rouge de betterave.
Couleur : Nuances diverses.
Remarque : Produit naturel (betteraves). Innocuité toxicologique. Colore les urines et les selles en rouge durant 48 heures.

E163
Type : Colorant.
Nom : Anthocyanes.
Couleur : Nuances diverses.
Remarque : Produit naturel (fruits, légumes). Innocuité toxicologique.

E170
Type : Colorant.
Nom : Carbonate de calcium.
Couleur : Blanc.
Remarque : Produit naturel (craie). Innocuité toxicologique.

E171
Type : Colorant.
Nom : Bioxyde de titane.
Couleur : Blanc.
Remarque : Produit chimique. Innocuité mal connue. Dans le doute, s’abstenir.

E172
Type : Colorant.
Nom : Oxydes et hydroxydes de fer.
Couleur : Pour la coloration en surface uniquement.
Remarques : Ce colorant n’est signalé que dans l’ouvrage du Dr. EG Peeters.

E173
Type : Colorant.
Nom : Aluminium.
Couleur : Pour la coloration en surface uniquement.
Remarques : Ce colorant n’est signalé que dans l’ouvrage du Dr. EG Peeters.

E174
Type : Colorant.
Nom : Argent.
Couleur : Pour la coloration en surface uniquement.
Remarques : Ce colorant n’est signalé que dans l’ouvrage du Dr. EG Peeters.

E175
Type : Colorant.
Nom : Or.
Couleur : Pour la coloration en surface uniquement.
Remarques : Ce colorant n’est signalé que dans l’ouvrage du Dr. EG Peeters.

E180
Type : Colorant.
Nom : Pigment rubis. Lithol-rubine BK.
Couleur : Pour colorer les croûtes de fromage.
Remarques : Ce colorant n’est signalé que dans l’ouvrage du Dr. EG Peeters.

E200
Type : Conservateur.
Nom : Acide sorbique.
Aliments concernés : Yaourts, pruneaux, vins, laits fermentés.
Remarques : Produits naturels (sorbier) ou produits chimiques. Innocuité toxicologique.
Type : Conservateur.
Nom : Sorbate de sodium. Sel de sodium de l’acide sorbique.
Aliments concernés : Yaourts, pruneaux, vins, laits fermentés.
Remarques : Produits naturels (sorbier) ou produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E202
Type : Conservateur.
Nom : Sorbate de potassium. Sel de potassium de l’acide sorbique.
Aliments concernés : Yaourts, pruneaux, vins, laits fermentés.
Remarques : Produits naturels (sorbier) ou produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E203
Type : Conservateur.
Nom : Sorbate de calcium. Sel de calcium de l’acide sorbique.
Aliments concernés : Yaourts, pruneaux, vins, laits fermentés.
Remarques : Produits naturels (sorbier) ou produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E210
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés.
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E211
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. Benzoate de sodium. Sel de sodium de l’acide benzoïque.
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E212
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. Benzoate de potassium. Sel de potassium de l’acide benzoïque.
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E213
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. Benzoate de calcium. Sel de calcium de l’acide benzoïque.
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E214
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. P-hydroxybenzoate d’éthyle (ester éthylique de l’acide p-hydroxybenzoïque).
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E215
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. Dérivé sodique de l’ester éthylique de l’acide p-hydroxybenzoïque.
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E216
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. P-hydroxybenzoate de propyle (ester propylique de l’acide p-hydroxybenzoïque).
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E217
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. Dérivé sodique de l’ester propylique de l’acide p-hydroxybenzoïque.
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E218
Type : Conservateur.
Nom : Acide benzoïque et dérivés. P-hydroxybenzoate de méthyle (ester méthylique de l’acide p-hydroxybenzoïque).
Aliments concernés : Caviar, crevettes.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Risque d’ allergie. Seraient cancérigène. A éviter à tout prix.

E220
Type : Conservateur.
Nom : Anhydride sulfureux.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E221
Type : Conservateur.
Nom : Sulfite de sodium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E222
Type : Conservateur.
Nom : Bisulfite de sodium. Sulfite acide de sodium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E223
Type : Conservateur.
Nom : Disulfite de sodium. Pyrosulfite de sodium ou métabisulfite de sodium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E224
Type : Conservateur.
Nom : Disulfite de potassium. Pyrosulfite de potassium ou métabisulfite de potassium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E225
Type : Conservateur.
Nom : Disulfite de calcium. Pyrosulfite de calcium ou métabisulfite de calcium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E226
Type : Conservateur.
Nom : Sulfite de calcium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E227
Type : Conservateur.
Nom : Bisulfite de calcium. Sulfite acide de calcium.
Aliments concernés : Confitures, gelées, jus de fruits, cidre, vin, bière, moutarde, caramels, poissons séchés.
Remarques : Produits chimiques. Irritent le tube digestif. Contrarient la fixation de la vitamine B. A éviter si possible.

E230
Type : Conservateur.
Nom : Diphényle. Biphényle.
Aliments concernés : Traitement en surface des agrumes (citrons, oranges, pamplemousses).
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Pénètrent dans les fruits et ne sont pas éliminés par simple lavage. Consommer des agrumes non traités.

E231
Type : Conservateur.
Nom : Orthophénylphénol.
Aliments concernés : Traitement en surface des agrumes (citrons, oranges, pamplemousses).
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Pénètrent dans les fruits et ne sont pas éliminés par simple lavage. Consommer des agrumes non traités.

E232
Type : Conservateur.
Nom : Orthophénylphénate de sodium.
Aliments concernés : Traitement en surface des agrumes (citrons, oranges, pamplemousses).
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Pénètrent dans les fruits et ne sont pas éliminés par simple lavage. Consommer des agrumes non traités.

E233
Type : Conservateur.
Nom : Thiabendazole. 2-(4’thiazolyl)-benzimidazole.
Aliments concernés : Traitement en surface des agrumes (citrons, oranges, pamplemousses).
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Pénètrent dans les fruits et ne sont pas éliminés par simple lavage. Consommer des agrumes non traités.

E236
Type : Conservateur.
Nom : Acide formique et dérivés.
Aliments concernés : Exclusivement le fromage « Provolone ».
Remarques : Produits chimiques dangereux. Seraient cancérigènes. Interdit en France.

E237
Type : Conservateur.
Nom : Acide formique et dérivés. Formiate de sodium (Sel de sodium de l’acide formique).
Aliments concernés : Exclusivement le fromage « Provolone ».
Remarques : Produits chimiques dangereux. Seraient cancérigènes. Interdit en France.

E238
Type : Conservateur.
Nom : Acide formique et dérivés. Formiate de calcium (sel de calcium de l’acide formique).
Aliments concernés : Exclusivement le fromage « Provolone ».
Remarques : Produits chimiques dangereux. Seraient cancérigènes. Interdit en France.

E239
Type : Conservateur.
Nom : Hexaméthylènetétramine.
Aliments concernés : Exclusivement le fromage « Provolone ».
Remarques : Produits chimiques dangereux. Seraient cancérigènes. Interdit en France.

E240
Type : Conservateur.
Nom : Acide borique.
Aliments concernés : Caviar.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Interdit en France.

E241
Type : Conservateur.
Nom : Tétraborate de sodium.
Aliments concernés : Caviar.
Remarques : Produits chimiques dangereux. Interdit en France.

E250
Type : Conservateur.
Nom : Nitrite de sodium. (Exclusivement en mélange avec du chlorure de sodium).
Aliments concernés : Charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue mais vraisemblable. A éviter si possible.

E251
Type : Conservateur.
Nom : Nitrate de sodium. (Seul ou en mélange avec du chlorure de sodium).
Aliments concernés : Charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue mais vraisemblable. A éviter si possible.

E252
Type : Conservateur.
Nom : Nitrate de potassium. (Seul ou en mélange avec du chlorure de sodium).
Aliments concernés : Charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue mais vraisemblable. A éviter si possible.

E260
Type : Conservateur.
Nom : Acide acétique et dérivés.
Aliments concernés : Pain industriel.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

E261
Type : Conservateur.
Nom : Acide acétique et dérivés. Acétate de potassium.
Aliments concernés : Pain industriel.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

E262
Type : Conservateur.
Nom : Acide acétique et dérivés. Diacétate de sodium.
Aliments concernés : Pain industriel.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

E263
Type : Conservateur.
Nom : Acide acétique et dérivés. Acétate de calcium.
Aliments concernés : Pain industriel.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

E270
Type : Conservateur.
Nom : Acide lactique.
Aliments concernés : Sodas, limonade, fromages, pain, laits pour enfants, confiseries.
Remarques : Produit chimique peu recommandé aux enfants. A éviter si possible.

E280
Type : Conservateur.
Nom : Acide propionique et dérivés.
Aliments concernés : Pain de mie.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

E281
Type : Conservateur.
Nom : Acide propionique et dérivés. Propionate de sodium (sel de sodium de l’acide propionique).
Aliments concernés : Pain de mie.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

E282
Type : Conservateur.
Nom : Acide propionique et dérivés. Propionate de calcium (sel de calcium de l’acide propionique).
Aliments concernés : Pain de mie.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue.

E290
Type : Conservateur.
Nom : Anhydride carbonique.
Aliments concernés : Boissons gazeuses.
Remarques : Produit chimique. Ralentit la digestion. A éviter si possible.

E300
Type : Antioxydant.
Nom : Acide ascorbique et dérivés. Acide 1-ascorbique.
Aliments concernés : Beurre, bière, sirops de fruits, lait concentré et en poudre, conserves, sauces, condiments, charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Pas d’inconvénients à doses modérées. Ne pas en abuser.

E301
Type : Antioxydant.
Nom : Acide ascorbique et dérivés. 1-ascorbate de sodium (sel de sodium de l’acide 1-ascorbique).
Aliments concernés : Beurre, bière, sirops de fruits, lait concentré et en poudre, conserves, sauces, condiments, charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Pas d’inconvénients à doses modérées. Ne pas en abuser.

E302
Type : Antioxydant.
Nom : Acide ascorbique et dérivés. 1-ascorbate de calcium (sel de calcium de l’acide 1-ascorbique).
Aliments concernés : Beurre, bière, sirops de fruits, lait concentré et en poudre, conserves, sauces, condiments, charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Pas d’inconvénients à doses modérées. Ne pas en abuser.

E303
Type : Antioxydant.
Nom : Acide ascorbique et dérivés. Acide diacétyl 5-6-1-ascorbique (diacétate d’ascorbyle).
Aliments concernés : Beurre, bière, sirops de fruits, lait concentré et en poudre, conserves, sauces, condiments, charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Pas d’inconvénients à doses modérées. Ne pas en abuser.

E304
Type : Antioxydant.
Nom : Acide ascorbique et dérivés. Acide palmityl 6-1-ascorbique (palmitate d’ascorbyle).
Aliments concernés : Beurre, bière, sirops de fruits, lait concentré et en poudre, conserves, sauces, condiments, charcuterie.
Remarques : Produits chimiques. Pas d’inconvénients à doses modérées. Ne pas en abuser.

E306
Type : Antioxydant.
Nom : Tocophérols. Extraits d’origine naturelle riches en tocophérols.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produit naturel. Il s’agit de la vitamine E. Intérêt diététique certain.

E307
Type : Antioxydant.
Nom : Alpha-tocophérol de synthèse.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique, mais interdit en France.

E308
Type : Antioxydant.
Nom : Gamma-tocophérol de synthèse.
Aliments concernés : Produits diététiques
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique, mais interdit en France.

E309
Type : Antioxydant.
Nom : Delta-tocophérol de synthèse.
Aliments concernés : Produits diététiques
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique, mais interdit en France.

E311
Type : Antioxydant.
Nom : Gallate d’octyle.
Aliments concernés : Huiles, graisses, potages en sachets.
Remarques : Produits chimiques. Sensibilisation cutanée à forte dose. A éviter si possible.

E312
Type : Antioxydant.
Nom : Gallate de dodécyle.
Aliments concernés : Huiles, graisses, potages en sachets.
Remarques : Produits chimiques. Sensibilisation cutanée à forte dose. A éviter si possible.

E320
Type : Antioxydant.
Nom : BHA ou Butylhydroxyanisol.
Aliments concernés : Flocons de pommes de terre, purée en sachets.
Remarques : Produits chimiques. Élèvent la cholestérolémie. A éviter

E321
Type : Antioxydant.
Nom : BHT ou Butylhydroxytoluène. Butylhydroxytoluol.
Aliments concernés : Flocons de pommes de terre, purée en sachets.
Remarques : Produits chimiques. Élèvent la cholestérolémie. A éviter

E322
Type : Antioxydant.
Nom : Lécithines.
Aliments concernés : Chocolat, lait en poudre, margarine.
Remarques : Produit naturel (soja, jaune d’oeuf). Intérêt diététique.

E325
Type : Antioxydant.
Nom : Lactate de sodium. (Sel de sodium de l’acide lactique).
Aliments concernés : Fromages fondus, confiseries.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique. Consommation modérée chez les enfants.

E326
Type : Antioxydant.
Nom : Lactate de potassium. (Sel de potassium de l’acide lactique).
Aliments concernés : Fromages fondus, confiseries
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique. Consommation modérée chez les enfants.

E327
Type : Antioxydant.
Nom : Lactate de calcium. (Sel de calcium de l’acide lactique).
Aliments concernés : Fromages fondus, confiseries
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique. Consommation modérée chez les enfants.

E330
Type : Antioxydant.
Nom : Acide citrique et dérivés.
Aliments concernés : Confitures, gelées, sirops, crevettes, fromages, pain de seigle, laits pour enfants, moutarde, pruneaux, confiseries, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Allergie cutanée à fortes doses. A consommer avec modération.

E331
Type : Antioxydant.
Nom : Acide citrique et dérivés. Citrates de sodium (Sels de sodium de l’acide citrique).
Aliments concernés : Confitures, gelées, sirops, crevettes, fromages, pain de seigle, laits pour enfants, moutarde, pruneaux, confiseries, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Allergie cutanée à fortes doses. A consommer avec modération.

E332
Type : Antioxydant.
Nom : Acide citrique et dérivés. Citrates de potassium (sels de potassium de l’acide citrique).
Aliments concernés : Confitures, gelées, sirops, crevettes, fromages, pain de seigle, laits pour enfants, moutarde, pruneaux, confiseries, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Allergie cutanée à fortes doses. A consommer avec modération.

E333
Type : Antioxydant.
Nom : Acide citrique et dérivés. Citrates de calcium (sels de calcium de l’acide citrique).
Aliments concernés : Confitures, gelées, sirops, crevettes, fromages, pain de seigle, laits pour enfants, moutarde, pruneaux, confiseries, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Allergie cutanée à fortes doses. A consommer avec modération.

E334
Type : Antioxydant.
Nom : Acide tartrique et dérivés.
Aliments concernés : Fromages fondus, moutarde, confiseries, confitures, gelées, sirops.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E335
Type : Antioxydant.
Nom : Acide tartrique et dérivés. Tartrates de sodium (sels de sodium de l’acide tartrique).
Aliments concernés : Fromages fondus, moutarde, confiseries, confitures, gelées, sirops.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E336
Type : Antioxydant.
Nom : Acide tartrique et dérivés. Tartrates de potassium (sels de potasse de l’acide tartrique).
Aliments concernés : Fromages fondus, moutarde, confiseries, confitures, gelées, sirops.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E337
Type : Antioxydant.
Nom : Acide tartrique et dérivés. Tartrate double de sodium et de potassium.
Aliments concernés : Fromages fondus, moutarde, confiseries, confitures, gelées, sirops.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité toxicologique.

E338
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide orthophosphorique et dérivés.
Aliments concernés : Charcuterie, jambon, fromages fondus, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Freinent la digestion. A éviter

E339
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide orthophosphorique et dérivés. Orthophosphates de sodium (sels de sodium de l’acide orthophosphorique).
Aliments concernés : Charcuterie, jambon, fromages fondus, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Freinent la digestion. A éviter

E340
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide orthophosphorique et dérivés. Orthophosphates de potassium (sels de potassium de l’acide orthophosphorique).
Aliments concernés : Charcuterie, jambon, fromages fondus, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Freinent la digestion. A éviter

E341
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide orthophosphorique et dérivés. Orthophosphates de calcium (sels de calcium de l’acide orthophosphorique).
Aliments concernés : Charcuterie, jambon, fromages fondus, boissons gazeuses.
Remarques : Produits chimiques. Freinent la digestion. A éviter

E400
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide alginique et dérivés.
Aliments concernés : Entremets, flans, desserts, crèmes, charcuterie.
Remarques : Produits naturels (Algues). Innocuité toxicologique.

E401
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide alginique et dérivés. Alginate de sodium.
Aliments concernés : Entremets, flans, desserts, crèmes, charcuterie.
Remarques : Produits naturels (Algues). Innocuité toxicologique.

E402
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide alginique et dérivés. Alginate de potassium.
Aliments concernés : Entremets, flans, desserts, crèmes, charcuterie.
Remarques : Produits naturels (Algues). Innocuité toxicologique.

E403
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide alginique et dérivés. Alginate d’ammonium.
Aliments concernés : Entremets, flans, desserts, crèmes, charcuterie.
Remarques : Produits naturels (Algues). Innocuité toxicologique.

E404
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide alginique et dérivés. Alginate de calcium.
Aliments concernés :
Remarques : Produits naturels (Algues). Innocuité toxicologique.

E405
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide alginique et dérivés. Alginate de propylène-glycol (alginate de 1.2 propanediol).
Aliments concernés : Entremets, flans, desserts, crèmes, charcuterie.
Remarques : Produits naturels (Algues). Innocuité toxicologique.

E406
Type : Émulsifiant.
Nom : Agar-agar.
Aliments concernés : Glaces.
Remarques : Produit naturel (Algues). Intérêt diététique.

E407
Type : Émulsifiant.
Nom : Carraghénates. Carraghen, carrgénines, carragénates, carragheenan.
Aliments concernés : Glaces, desserts, jus de fruits, confiserie, biscuiterie.
Remarques : Produit naturel (Algues). Innocuité toxicologique.

E408
Type : Émulsifiant.
Nom : Furcelleran. Farcelleran ou Farcellaran.
Aliments concernés : Glaces, desserts, jus de fruits, confiserie, biscuiterie.
Remarques : Produit naturel (Algues). Innocuité toxicologique.

E410
Type : Émulsifiant.
Nom : Farine de graines de caroube.
Aliments concernés : Glace, pâtisseries.
Remarques : Produits naturels (végétaux). Intérêt diététique.

E411
Type : Émulsifiant.
Nom : Farine de graines de tamarin.
Aliments concernés : Glace, pâtisseries.
Remarques : Produits naturels (végétaux). Intérêt diététique.

E412
Type : Émulsifiant.
Nom : Farine de graines de guar. Gomme de guar.
Aliments concernés : Glace, pâtisseries.
Remarques : Produits naturels (végétaux). Intérêt diététique.

E413
Type : Émulsifiant.
Nom : Gomme adragante. Tragacanthe.
Aliments concernés : Confiseries, pâtisseries.
Remarques : Produit naturel (plante). Innocuité toxicologique.

E414
Type : Émulsifiant.
Nom : Gomme arabique.
Aliments concernés : Confiseries, pâtisseries.
Remarques : Produit naturel (plante). Innocuité toxicologique.

E420
Type : Émulsifiant.
Nom : Sorbitol.
Aliments concernés : Produits diététiques, pâtisseries, confiseries.
Remarques : Produits naturels ou chimiques. Innocuité toxicologique.

E421
Type : Émulsifiant.
Nom : Mannitol.
Aliments concernés : Produits diététiques, pâtisseries, confiseries.
Remarques : Produits naturels ou chimiques. Innocuité toxicologique.

E422
Type : Émulsifiant.
Nom : Glycérol.
Aliments concernés : Produits diététiques, pâtisseries, confiseries.
Remarques : Produits naturels ou chimiques. Innocuité toxicologique.

E440
Type : Émulsifiant.
Nom : Pectines.
Aliments concernés : Confitures, gelées, entremets, flans, desserts, glaces.
Remarques : Produit naturel (pomme). Intérêt diététique.

E450
Type : Émulsifiant.
Nom : Polyphosphates de sodium et polyphosphates de potassium. a) diphosphates de sodium et de potassium; b) triphosphates; c) polyphosphates linéaires (ne comportant pas plus de 80% de composés cycliques).
Aliments concernés : Charcuterie, fromages fondus.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E460
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E461
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés. Méthylcellulose.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E462
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés. Ethylcellulose.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E463
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés. Hydroxypropylcellulose.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E464
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés. Hydroxypropylméthylcellulose.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E465
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés. Méthyléthylcellulose.
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E466
Type : Émulsifiant.
Nom : Cellulose microcristalline et dérivés. Carboxyméthylcellulose (sel de sodium de l’éther carboxyméthylique de cellulose).
Aliments concernés : Produits diététiques.
Remarques : Produits chimiques. Provoquent des perturbations digestives. A consommer modérément.

E470
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais. (Taux maximum 1,5% sur la farine utilisée).
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E471
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires. Mono et diglycérides d’acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E472
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires. Esters : a) acétique, b) lactique, c) citrique, d) tartrique, c) diacetyl-tartrique des mono et diglycérides d’acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E473
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires. Sucroesters, esters de saccharose et d’acides gras alimentaires et diglycérides d’acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément. Ne peut être utilisé dans le pain à moins que la législation nationale ne le permette.

E474
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires. Sucroglycérides, mélange d’esters de saccharose et de mono- et diglycérides d’acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément. Ne peut être utilisé dans le pain à moins que la législation nationale ne le permette.

E475
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires. Esters polyglycériques des acides gras alimentaires non polymérisés.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E476
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E477
Type : Émulsifiant.
Nom : Sels de sodium, potassium et calcium des acides gras alimentaires. Esters du propylène-glycol (1,2 propane-diol) et des acides gras alimentaires.
Aliments concernés : Exclusivement biscottes de type néerlandais.
Remarques : Produits chimiques. Contrarient la digestion. A consommer modérément.

E480
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide stéaroyl-2 lactylique et dérivés.
Aliments concernés : Pain.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France. Ne peut être utilisé dans le pain à moins que la législation nationale ne le permette.

E481
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide stéaroyl-2 lactylique et dérivés. Stéaroyl-2-lactylate de sodium.
Aliments concernés : Pain.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France. Ne peut être utilisé dans le pain à moins que la législation nationale ne le permette.

E482
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide stéaroyl-2 lactylique et dérivés. Stéaroyl-2-lactylate de calcium.
Aliments concernés : Pain.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France. Ne peut être utilisé dans le pain à moins que la législation nationale ne le permette.

E483
Type : Émulsifiant.
Nom : Acide stéaroyl-2 lactylique et dérivés. Tartrate de stéaroyle.
Aliments concernés : Pain.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. Interdit en France.

Type : Additif.
Nom : Glutamate de sodium.
Aliments concernés : Sel de table, potages en sachets, tous les produits salés.
Remarques : Produit chimique. Augmente l’envie de manger. A consommer modérément.

Type : Additif.
Nom : Ferrocyanure de sodium.
Aliments concernés : Sel de table, vin rosé, vin blanc.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. A éviter

Type : Additif.
Nom : Ferrocyanure de potassium.
Aliments concernés : Sel de table, vin rosé, vin blanc.
Remarques : Produits chimiques. Innocuité mal connue. A éviter

Type : Additif.
Nom : Manganitrile de fer.
Aliments concernés : Sel de table.
Remarques : Produit chimique. Innocuité certaine. A éviter

Savoir choisir ses aliments

Notre alimentation doit être équilibrée, mais que recouvre ce terme ?

Privilégier les produits de saison

En choisissant des produits de saison, cultivés localement, on gagne sur tous les tableaux : de meilleurs prix et une qualité gustative supérieure.

  • En octobre :
    • Les fruits d’arrière-saison – figues, raisons, poire – offrent leurs vitamines, leurs fibres s’ils sont mangés crus, en particulier les pommes : « Elles obligent à bien mastiquer et sont un coupe-faim bourré de fibres. En préparant des compotes maison, on peut cuire les fruits entiers, peau et trognons compris, puis les passer afin de bénéficier de toutes leurs composantes nutritives. »
    • Les légumes : blettes, choux pommés ou frisés, de courges ou potimarrons, avec les traditionnels poireaux et carottes
La cueillette, un goût d’autrefois

La nature est un réservoir inépuisable de plantes comestibles souvent épargnées par la pollution.

Elles sont plus riches en fibres, en vitamine C et antioxydants que leurs homologues cultivés, atteste Linda Louis (fondatrice de www.cuisine-campagne.com et auteur de l’Appel gourmand de la forêt.
Leurs tanins possèdent des propriétés antiseptiques et astringentes. Les mûres, les myrtilles ou les baies de sureau noir sont un condensé de vitamine C et leurs pigments ont un fort pouvoir antioxydant.

Ce sont des aliments anti-vieillissement qui empêchent la prolifération des radicaux libres, mobilisés par le fonctionnement naturel de l’organisme, mais aussi le stress, la pollution, l’abus de tabac et l’alcool. Sans oublier les champignons, composés de 90 % d’eau appréciables pour leur apport en sels minéraux.

Réhabiliter légumineuses et féculents

Les haricots secs, pois cassés, lentilles sont tous des légumineuses riches en protéines et micronutriments qui entretiennent la masse musculaire, au même titre que la viande, mais sans les inconvénients, comme l’excès de graisses saturées. Associez-les en soupe avec d’autres légumes ou en plat complet avec du riz ou d’autres céréales : « un petit salé aux lentilles accompagné de légumes crus, comme un émincé de chou blanc au jus de citron et de légumes cuits à l’huile d’olive et cumin… ».

Les féculents sont pourtant recommandés à raison d’un par repas : pain, céréales, pâtes ou pommes de terre – Les pommes de terre ont l’avantage de contenir de la vitamine C et du magnésium, qui ont un effet rassasiant et antigrignotage.

Des produits d’épicerie, bien sélectionnés

Choisissez de préférence des produits non raffinés, donc moins dénaturés.

  • Optez pour les farines complètes ou semi-complètes bio qui contiennent davantage de fibres, de minéraux, de vitamines et de micronutriments.
  • Préférez le sel de mer, riche en oligo-éléments et en potassium, au sel raffiné qui ne contient pas que du sodium, des résidus chimiques et des anti-agglomérants.
  • Le sucre de canne blond ou roux est moins dénaturé que le sucre blanc.
  • Les huiles de colza non raffinées, riches en oméga 3 et les huiles d’olives « pression à froid » riches en oméga 9 sont bénéfiques pour le cerveau et les fonctions cardiovasculaires

Le miel à l’hôpital : un allié pour la cicatrisation

Un travail sur le pouvoir antibactérien et cicatrisant des miels mené au CHU de Limoges a montré comment les pansements et les soins au miel pouvaient réduire grandement le temps de cicatrisation, sans infection ni effets secondaire. Explications de Ghislaine Pautard, infirmière engagée auprès du Pr Descottes dans de domaine de recherche.

Aujourd’hui, un groupe de recherche1 cherche à comprendre pourquoi le miel aide à la cicatrisation des plaies.

Miel et cicatrisation : 27 ans de travaux au CHU de Limoges

« Nous avons commencé à utiliser le miel dans le service de chirurgie viscérale et transplantations en 1984, sous l’impulsion du Pr Bernard Descottes, chirurgien, chef de service », raconte Ghislaine Pautard. Celui-ci avait lu des travaux réalisés à l’étranger sur les pouvoirs de cicatrisationdu miel. « À l’époque, nous avions peu de produits efficaces pour la cicatrisation », précise l’infirmière. Le Pr Descottes propose à son équipe de faire des recherches bibliographiques sur le sujet et d’observer les effets des pansements au miel sur les patients. L’aventure commence !

« Nous avons d’abord utilisé du miel toutes fleurs, que l’on trouvait dans la région », indique Ghislaine Pautard. « Puis, une thèse en pharmacie, réalisée à la faculté de Limoges, sur le pouvoir antibactérien des miels a montré que les nectars issus de plantes ayant des propriétés antibactériennes, telles la lavande et surtout le thym, avaient une activité antibactérienne encore plus forte », ajoute-t-elle. Les bons résultats sont au rendez-vous ! « Nous avons vite vu que le miel avait un réel intérêt dans la cicatrisation », souligne l’infirmière.

Une étude comparative en double aveugle2 réalisée en 1988 a montré que, sur trois types de plaies, la vitesse de cicatrisation était presque deux fois plus rapide avec le miel qu’avec deux autres dispositifs médicaux reconnus (Biogaze, Débrisan). « De 1984 à aujourd’hui, plus de 3 000 patients ont bénéficié de pansements au miel dans notre service », indique Ghislaine Pautard.

Miel et cicatrisation : en pratique

« Le miel est utilisé dans le service de chirurgie digestive principalement pour la cicatrisation de deuxième intention : plaies non fermées par des points ou des agrafes », précise Ghislaine Pautard. Les pansements sont réalisés avec du miel s’il y a des complications dans la cicatrisation ou si le chirurgien n’a pas souhaité refermer la plaie – c’est parfois le cas par exemple lors d’un rétablissement de continuité digestive.

La technique du pansement au miel est différente selon les divers stades de la cicatrisation. Celle-ci se déroule suivant trois phases : phase de détersion, phase de bourgeonnement et phase d’épithélialisation. « Nous avons observé que le miel accélérait surtout la cicatrisation au stade du bourgeonnement », explique Ghislaine Pautard. Au début des études, le miel utilisé au CHU de Limoges était acheté directement auprès de producteurs sélectionnés et était analysé afin de voir s’il ne contenait pas de bactéries. « Aujourd’hui, il existe du miel en tube stérilisé par rayons Gamma et notre hôpital l’utilise aussi », précise Ghislaine Pautard.

D’autres services utilisent-ils le miel aujourd’hui ? « Des médecins, des soignants nous contactent pour des renseignements ou pour récupérer notre protocole de soin », informe-t-elle. Ces protocoles de soins au miel sont envoyés uniquement aux personnels médicaux.

Miel et cicatrisation : comprendre le pouvoir cicatrisant

Pourquoi le miel a-t-il ce pouvoir cicatrisant ? « On sait déjà que le miel possède des propriétés antibactériennes liées entre autres à son osmolarité et à la production d’eau oxygénée. La glucose-oxydase, enzyme sécrétée par les glandes hypopharyngiennes de l’abeille, transforme le glucose présent dans le nectar en acide gluconique, avec libération d’eau oxygénée », explique Ghislaine Pautard. « Par contre, on ignore encore ce qui se passe au niveau des plaies », poursuit-elle. Un groupe de recherche, composé de chercheurs de la faculté de pharmacie de Limoges, de l’IUT de Bourges et du CHU de Limoges, s’intéresse à la physiologie de la cicatrisation par le miel. Celui-ci n’a pas encore livré tous ses secrets !

Piment des jardins

Jouissant de propriétés digestives, antiseptiques et stimulantes de l’estomac, le Piment est souvent utilisé comme condiment, surtout dans certaines cuisines exotiques.

C’est du Piment de Hongrie (ou Paprika) que Szent-Györgyi et Svierberly ont extrait pour la première fois la vitamine C à l’état cristallisé (1927-1932).

Pendant longtemps, le Paprika avec ses 200 mg par kilo d’acide ascorbique, fut la seule source de préparation de la vitamine C, avec le jus de Citron et les feuilles fraîches de Tomate.

Toutefois, étant donné la violence de sa saveur âcre et brûlante, on n’utilise guère le Piment pour l’usage interne médical, bien qu’il est été conseillé dans la goutte, la dysenterie, la paralysie, les hémorroïdes, les hémorragies utérines.

Par contre ses propriétés révulsives et rubéfiantes son mise à profit dans ses sinapismes, liniments, et onguent pharmaceutiques utilisés contre les lumbagos, les névralgies, les rhumatismes, et contre les incidents de l’effort sportif : crampes, élongations musculaires, entorses, foulures. Le Piment forme aussi la base des cotons révulsifs, dits « thermogènes ».



Poireau

Le Poireau est connu depuis la haute antiquité. Il devait être particulièrement estimé des Egyptiens, puisque le Papyrus des métiers nous apprend que le roi Chéops, constructeur de la fameuse pyramide, récompensa par 100 bottes de Poireaux un médecin habille qui l’avait soulagé d’une affection urinaire. Les Hébreux l’estimaient pour ses propriétés rafraîchissantes et en font mention dans le livre des Nombres.
Booz le donnait comme fortifiant, confit au vinaigre, à ses moissonneurs, chez les Grecs et les Romains, le Poireau était à la fois un légume estimé et un véritable remède. Hippocrate eut le mérite d’établir le premier les nombreuses vertus du Poireau, « qui augmente la diurèse, augmente le lait des nourrices et guérit la phtisie ». Il le recommande aux dames, car son suc « ouvre les matrices fermées », et, « pris comme aliment, il augmente la fécondité des femmes ».
L’action béchique du Poireau était aussi très recherchée. L’empereur Néron en faisait une cure, à l’exclusion de toute autre nourriture, quelques jours par mois, afin d’avoir la plus belle voix lorsqu’il produisait ses roucoulades, à tel point qu’on le surnommait par dérision le « porrophage ». Au Moyen Age, c’est surtout pour cette qualité que le Poireau était prôné par les médecins, qui voyaient en lui le remède « qui modifie et nettoie la canne et le tuyau du poumon ».
De nos jours, le Poireau est un diurétique très populaire utilisé dans les rétentions d’urine, l’hydropisie, la gravelle et la pierre. On emploie le bouillon de Poireau ou la décoction de graines dans du vin blanc, aussi efficaces l’un que l’autre. Il a une salutaire action sur l’intestin, bien utile en cas de constipation. On le recommande de manière générale aux dyspeptiques, aux pléthoriques, aux goutteux, aux lithiasiques et aux constipés chroniques.
Comme au temps de Néron, il est toujours aussi efficace dans les inflammations aigües et chroniques des voies respiratoires, et son sirop fait merveille dans les extinctions de voix, l’enrouement, la toux, les pharyngites et les trachéites.
Pour l’usage externe, le cataplasme de Poireaux, calmant et maturatif, a été la panacée de nos grands-mères contre les furoncles, les doigts blancs, les ulcères suppurants, les gonflements goutteux et articulaires, les angines.
Appliqué chaud sur le bas-ventre, ce cataplasme est même renommé pour favoriser, l’émission d’urine.
Le suc en lotion embellit le visage, dont il supprime rougeurs et boutons. Il calme les douleurs des piqûres d’insectes.
Enfin le jus de Poireau a la réputation d’arrêter les saignements de nez.



Pomme de terre

Introduite en Angleterre en 1594 par le corsaire Francis Drake, la Pomme de terre fut longtemps considérée outre-Manche comme un élixir de longue vie, ainsi que nous l’apprend Bacon dans Death and life : « Un quart de ces racines farineuse, mélangé à trois quart de graines, rendra la bière plus propre à prolonger la vie ».
Après sa vulgarisation, les médecins surent bien vite mettre à profit les vertus calmantes des feuilles de Pomme de terre dans les névralgies et les rhumatismes, et les propriétés diurétiques des tubercules contre les lithiases rénales et vésicales. En effet, très riche en potassium, la Pomme de terre est fortement diurétique et peut-être prescrite dans le régime des cardiaques, des brightiques et des néphrétiques avec œdèmes Seiler, pendant la guerre de 1914-1918, en prescrivait 1 Kg par jour aux cardiaques quand il n’y avait plus de digitaline à Vienne. Très pauvre en chlorures, elle est recommandée dans les régimes déchlorurés.
Ses propriétés antiscorbutiques sont renommées depuis bien longtemps et in n’est pas étonnant de la trouver parmi les précieuses provisions de bouche des voyages au long cours. Les travaux modernes ont prouvé, depuis, sa singulière richesse en vitamine C qui fait de la populaire Pomme de terre la reine de nos légumes d’hiver.
En diététique moderne, on la recommande chez les arthritiques, mais aussi chez les obèses et les diabétiques, car, contrairement aux préventions, elle nourrit sans engraisser, à condition de la manger nature, sans les sauces et les fritures dont on a l’habitude de l’imbiber, et d’en prendre une portion normale, cela va de soi. Elle est aussi très utile aux dyspeptiques, dont elle soulage les douleurs gastriques. Point n’est besoin pour autant d’utiliser la recette astucieuse de Dr Gruby, médecin de la fin du siècle dernier doublé d’un humoriste, qui conseillait à ses malades dyspeptiques la simple purée de Pomme de terre, à laquelle il faisait ajouter une douzaine de petits cailloux, afin de les obliger à saliver et à manger lentement. C’est par ce procédé, dit-on, qu’il réussit à guérir Alexandre Dumas de sa dyspepsie chronique.
Quant à Cazin, le grand phytothérapeute calaisien du XIXème siècle, il préconisait contre les catarrhes pulmonaires et les toux sèches une infusion de feuilles de Pomme de terre, avec du Marrube blanc et des bourgeons de Pin.
Très utilisée à l’extérieur, par les médecins de campagne, au siècle dernier, contre les contusions, les eczémas, les brûlures, les panaris, elle continue encore à être employée pour ces usages en médecine familiale.


Cannelle de Ceylan

Comme le Poivre, la Cannelle est utilisée de temps immémoriaux, puisqu’elle est déjà mentionnée en Chine 2 700 ans av. J-C. Elle était d’ailleurs tellement en honneur dans ce pays qu’aucun médecin chinois n’aurait délivré une ordonnance sans Cannelle. Dans ses Recettes du coffret d’or, Tchang King, l’Hippocrate chinois, nous révèle qu’il l’utilisait dans les affections respiratoires. Les Arabes l’employaient comme condiment et comme drogue médicinale destinée à hâter la digestion. Au Moyen Age, c’était aussi un stimulant stomacal et, pour Albert le Grand, « elle calme la toux et fortifie le foie ». A la Renaissance, si elle entre dans beaucoup de préparations culinaires, dont « la saulce chaude, la cameline et le « saupiquet » du célèbre Taillevent, elle n’en est pas moins jugée digne de lutter contre la peste, comme nous l’apprend le « Traité de la peste » de l’apothicaire Guillaume Busnel.
Au XVIIIème siècle, sa faveur et si grande qu’elle entre dans la plupart des préparations alors en honneur, tels le diascordium de Fracastor, le laudanum, l’élixir de Garus.

De nos jours, on admet les propriétés stimulantes certaines de la Cannelle sur les systèmes respiratoire et circulatoire. Elle augmente aussi la sécrétion du suc gastrique et stimule l’ensemble des fonctions digestives.
Tonifiante, elle est bonne pour les convalescents, les gens fatigués ou manquant d’appétit, et on la recommande particulièrement dans les asthénies post-grippales. D’ailleurs, la Cannelle est aussi un excellent préservatif de la grippe et des refroidissements. Le vin chaud à la Cannelle n’est-il pas la panacée antigrippe familiale par excellence ? Ce vin possède des propriétés toniques et stimulantes incontestables et procure une accélération du cœur et de la respiration. Ces qualités sont d’ailleurs utilisées en pharmacie dans la « potion de Todd » et le « vin de Cannelle composé », qu’on distribuait autrefois si généreusement dans les hôpitaux. Enfin, la Cannelle a une réputation sans doute méritée d’être aphrodisiaque, et le vin obtenu par macération de 60 g de Cannelle et 30 g de vanille dans 1 l de frontignan a grande renommée.





Noix de Muscade

Aucune épice, peut-être, ne connut la vogue de Nux indica, nom qu’on donnait jadis à la noix de Muscade.

A la renaissance, sous l’impulsion de Fernel, qui la considérait comme un puissant stimulant de l’esprit et des sens, les apothicaires s’emparèrent si bien de la Muscade qu’au XVIIIème siècle elle entrait dans 24 préparations citées au Codex de 1758.

Paullini, de son côté, eut grand-peine à se contenter de 876 pages pour énumérer, dans le livre qu’il lui consacre, ses innombrables vertus. Résumons en disant qu’il la trouve bonne pour tout et pour tous : « bien portants, malades, vivants ou morts ».

Cartheuser, moins fantaisiste, découvrit, au XVIIIème si7cle, son huile essentielle et établit ainsi les propriétés pharmacologiques de la Muscade sur une base sérieuse. Bien qu’on ne trouve peut-être plus « qu’elle fortifie le cerveau et les parties nobles », l’essence que contient la Muscade est réellement digestive, stimulante et carminative. L’emploi de cette épice est donc très indiqué en cuisine pour faciliter la digestion difficile des mets lourds, gras ou féculents, pour stimuler l’appétit et combattre les fermentations.

On prétend aussi que la Muscade empêche le mal de mer.

Douée de propriétés narcotiques et même stupéfiantes, la Muscade est toxique en grande quantité : l’absorption d’une noix entière peut déterminer de l’ivresse, du délire, des convulsions, de la stupeur. Un vers de l’école de Salerne, resté célèbre, montre que la célèbre école de médecine connaissait cette toxicité, puisqu’il montre que la Muscade est salutaire à petite dose et presque un poison mortel à dose forte. Le « beurre de Muscade », substance grasse obtenue à la manière du beurre de Cacao, est utilisé à l’extérieur dans de nombreuses préparations encore en usage dans les campagnes (baume Nerval, liniment de Rosen). On l’emploie en frictions contre les douleurs rhumatismales et les névralgies dentaires.

Le Macis est l’enveloppe qui entoure la noix de Muscade. Lorsque la pulpe du fruit arrivé à maturité se fend, on recueille soigneusement cette enveloppe rouge vif qui recouvre le noyau (ou noix de Muscade). On l’utilise en cuisine comme la noix, mais il est beaucoup plus fin. Le macis entre dans la composition du « vin de Scille composé » (de la charité).


Datte

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Province des Arabes comme chacun sait, le Dattier leur donne surtout ses fruits, très nourrissants, mais l’arbre entier est utile, le bois pour le chauffage, les feuilles pour la vannerie, les pousses comme légume, la sève pour en faire une boisson alcoolisée : le vin de palme. Nous connaissons surtout la Datte, aliment très énergétique qui, sous un petit volume, est recommandé pour cela aux enfants, aux sportifs, aux convalescents.




Rhubarbe

La Rhubarbe a été utilisée de temps immémorial dans la pharmacopée chinoise. Elle est signalée dans un des traditionnels Pen ts’ao, le « Chen-nug », et surtout dans les Recettes du coffret d’or de l’Hippocrate chinois Tchang-King : ce dernier nous signale que la rhubarbe est, avec le Ricin, un des drastiques purgatifs le plus en usage. Les Grecs avec Dioscoride, les Romains avec Pline et Galien utilisèrent ensuite les propriétés purgatives de cette plante inconnue chez eux et qu’ils recevaient, comme l’écrit Dioscoride, « des pays qui sont par-delà le Bosphore ».
Au Moyen Age, les racines de Rhubarbe, plantes toujours aussi mystérieuse par ses origines et ses diverses variétés, arrivent par caravanes de Russie et du centre de l’Asie et sont vendues par les apothicaires. L’école de Salerne lui reconnaît, en plus de ses vertus purgatives, une action sur le foie.
Toutes les anciennes pharmacopées usèrent et abusèrent de la Rhubarbe. Lémery la trouvait « propre pour le cours du ventre, nettoyer et fortifier l’estomac, exciter l’appétit, tuer les vers et purger doucement l’humeur bileuse ».
Sydenham préparé avec la Rhubarbe une bière stomachique qui faisait merveille, d’après lui, chez les enfants anémiés par une fièvre chronique. Klein, au siècle dernier, avait sa poudre digestive et le Dr Roques ses « pilules gourmandes » à base de Rhubarbe. Il y avait aussi le sirop de Rhubarbe et d’innombrables préparations au nom prometteur : grains de santé, grains de vie, élixirs viscéraux, etc. Quant aux célèbres pilules de Belloste, qui unissaient la Rhubarbe à l’aloès, à la Scammonée, au Poivre noir et au Mercure, et dont la formule longtemps tenue secrète par le chirurgien Belloste lui-même, puis par sa famille, elles eurent longtemps la réputation, malgré leur efficacité douteuse, d’être le spécifique des « coups de pieds de Vénus ». De nos jours, on n’utilise plus guère la Rhubarbe, bien qu’on lui reconnaisse toujours ses propriétés apéritives et toniques et surtout purgatives. Elle a aussi une action très nette sur la sécrétion biliaire : son effet sur l’intestin s’exerce d’ailleurs par l’intermédiaire de la stimulation de la sécrétion biliaire. Mais elle présence certains inconvénients qui ont fait abandonner pratiquement son usage : son emploi ne doit pas être prolongé, car elle constipe après avoir purgé. Elle est interdite aux gouteux et aux graveleux à cause de sa teneur élevée en oxalates ; aux dyspeptiques, car elle augmente l’acidité de l’estomac ; aux hémorroïdaires, à cause de son effet congestif ; aux nourrices, dont elle rend le lait amer.

Le Rhapontic est la variété de Rhubarbe plutôt alimentaire, surtout cultivée en France et en Angleterre (on l’appelle parfois Rhubarbe de France). Sa racine possède les mêmes propriétés que la Rhubarbe officinale. Les pétioles, appelés généralement « bâtons » après avoir été pelés et coupés, sont cuits en marmelades et en confitures, estimées en Belgique, en Hollande, dans le nord de la France et surtout en Angleterre, où elles entrent dans un grand nombre de pâtisseries. Il n’est pas du tout recommandé de manger, les feuilles à la façon des Epinards, comme cela se faisait parfois jadis. Elles irritent l’intestin et ont déjà causé des intoxications graves.



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