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Peau

Troubles cutanés

Des problèmes intestinaux, produisant un sang impur, conduisent à toutes sortes de maladies de la peau, telles que l’eczéma, l’acné et le psoriasis. Ceci est principalement causé par des calculs biliaires et les effets nuisibles qu’ils ont sur le corps dans son ensemble. Dans sa tentative d’éliminer ce que le côlon, les reins, les poumons, le foie et le système lymphatique sont incapables d’excréter ou de désintoxiquer, la peau devient surchargée de déchets acides. Bien que la peau soit le plus grand organe d’élimination du corps, elle succombe finalement à l’attaque acide. Le matériel toxique est d’abord stocké dans le tissu conjonctif, en-dessous du derme. Quand cette « décharge » est saturée, la peau commence à mal fonctionner.

Les toxines et les protéines putréfiantes des cellules cutanées endommagées ou détruites attirent des microbes et deviennent une source constante d’irritation et d’inflammation de la peau. Si les glandes sébacées, qui déversent leur sécrétion, le sébum, dans les follicules des cheveux, souffrent de malnutrition, le développement des cheveux devient anormal et, en particulier, peut mener à une calvitie. Quand les stocks de mélanine se vident, les cheveux deviennent prématurément gris. Sur la peau, le sébum joue un rôle d’agent bactéricide et fongicide, empêchant une invasion microbienne, le dessèchement de la peau et l’apparition de fissures…

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Psoriasis

Le psoriasis (du grec ψωρίασις « éruption galeuse », psore ayant aussi autrefois désigné la gale en France) est une maladie inflammatoire de la peau d’origine inconnue et non contagieuse.
Cette affection dermatologique touche 1 à 3 % de la population mondiale.

Dans sa forme bénigne et typique, le psoriasis se caractérise par des lésions rouges et squameuses du cuir chevelu, des genoux et des coudes, associée à une atteinte des ongles. Dans les cas graves, l’atteinte cutanée peut être généralisée (érythrodermie) et il peut exister des atteintes des articulations. Cette dermatose évolue de façon chronique avec des poussées entrecoupées de périodes de rémissions de durée variable au cours desquelles les lésions sont minimes. Aucun traitement permettant la guérison n’est connu ; le traitement proposé permet uniquement de contrôler l’évolution de la maladie, en permettant la régression transitoire plus ou moins complète des lésions. Le traitement est adapté en fonction de la gravité et du retentissement sur la qualité de vie des patients.

Causes

La maladie aurait des composantes génétiques, auto-immunes, microbiologique et environnementale ou alimentaire.

L’épiderme se renouvelle trop rapidement, en seulement quatre à six jours, au lieu des trois semaines habituelles ce qui engendre des inflammations localisées. Les cellules épidermiques s’accumulent à la surface de la peau et forment une couche de pellicules blanches appelées squames. Parfaitement inoffensives, celles-ci ont pourtant le désavantage d’être inesthétiques. La présence de nombreux leucocytes dans le derme a suggéré le rôle du système immunitaire.

Comme indiqué précédemment, il existe pour un petit tiers des personnes atteintes une composante familiale au psoriasis (restent à déterminer les autres facteurs entrant en jeu). Un certain nombre de gènes ont été identifiés comme marqueurs potentiels de risque, dont le PSORS. Le plus important semble être le PSORS situé sur le chromosome 6 et qui serait responsable de près du tiers des psoriasis familiaux. Seize gènes (en 20125) ont des mutations pouvant favoriser cette maladie.

Les poussées de psoriasis sont parfois liées au stress. Elles peuvent aussi avoir pour origine un facteur infectieux (infection streptococcique, par exemple). Leur fréquence est très variable et, d’une manière générale, le facteur déclenchant de la poussée n’est pas identifiable. La consommation excessive d’alcool est un facteur d’aggravation du psoriasis.

Certains médicaments exacerbent parfois le psoriasis mais leur arrêt doit être discuté au cas par cas, celui-ci pouvant comporter d’autres risques, cardio-vasculaires en particulier. Ce sont essentiellement ceux de la classe des bêta-bloquants. D’autres molécules ont été rapportées comme potentiellement aggravantes, avec un risque cependant moindre. Ce sont les sartans et l’énalapril.

Au contraire, l’exposition solaire a un rôle protecteur net. Durant la grossesse, une diminution des poussées avec une aggravation par contre à la suite de celle-ci est généralement observée. Le mécanisme invoqué est celui d’une immuno-modulation par les taux élevés de progestérone et d’œstrogènes qui entraînent une stimulation de l’immunité dépendant des lymphocytes B mais une diminution de l’activité immunitaire des lymphocytes T. La progestérone est reconnue comme ayant un rôle immuno-modulateur clé durant la grossesse.

Traitement systémique allopathique

Pour les formes les plus sévères de psoriasis, les médecins peuvent prescrire des traitements par voie orale (comprimé ou gélule) ou par injection. Ces traitements sont appelés systémiques car les médicaments sont censés se disséminer dans tout l’organisme. Ils ont souvent des effets secondaires, parfois sérieux.

Le méthotrexate est un antagoniste d’une vitamine, l’acide folique. S’emploie encore surtout dans l’arthrite psoriasique, peu dans le psoriasis exclusivement cutané. Un rétinoïde, tel l’acitrétine, est un dérivé de synthèse de la vitamine A pouvant être prescrit dans les formes modérées à sévères de psoriasis. Chez la femme en âge de procréer ce traitement est tératogène, non seulement pendant la prise du médicament mais également pendant les deux années (24 mois) qui suivent la dernière prise. Les effets secondaires sont en général mineurs.

Le psoriasis étant considéré proche des maladies auto-immunes, un immunodépresseur comme la ciclosporine peut parfois produire des effets positifs, mais ses effets secondaires sont importants (principalement en raison de l’affaiblissement du système de défense immunitaire). L’hydroxyurée n’est quasi plus employée. L’alefacept, un anticorps dirigé contre des récepteurs de certains lymphocytes T, n’a plus sa place dans le traitement du psoriasis. L’infliximab est un anticorps monoclonal chimérique anti-TNF alpha. Il s’administre en perfusion de 2 heures, aux semaines 0, 2 et 6, puis toutes les 8 semaines.

L’efalizumab est également un anticorps monoclonal dirigé contre un certain type de récepteurs leucocytaires avec une efficacité à court et moyen terme. Il a été retiré du marché début 2009. L’étanercept est un inhibiteur du TNF alpha qui a une bonne efficacité sur l’atteinte cutanée mais aussi articulaire du psoriasis. L’adalimumab est un anti-TNF alpha administré en injection sous-cutanée toutes les 2 semaines à la dose de 40 mg.

D’autres médicaments ou traitements ont été plus ou moins testés : le XP-828L (Dermylex) a prouvé une certaine efficacité pour le psoriasis léger à modéré. De même, plusieurs anticorps monoclonaux, dont l’ustekinumab, ou l’ixekizumab, dirigés contre certains types d’interleukines semble être prometteur, voire plus efficace que l’etanercept.

Entre autres nouveaux traitements, la lécithine marine est en cours d’évaluation et des résultats positifs ont déjà été publiés33,34.

Le 23 septembre 2014, la Food and Drug Administration (FDA) a accordé une autorisation de mise sur le marché à l’aprémilast (Otezla) chez les patients souffrant d’un psoriasis en plaques modéré à sévère candidats à la photothérapie ou à un traitement systémique.

Mécanismes de l’inflammation

Plusieurs substances de l’inflammation, comme le TNF α, IL-1, IL-2, IL-4, IL-5 IL-12, IL-23

Psoriasis / Dermite séborrhéique

Synonymes : Eczéma séborrhéique, dermatite séborrhéique, sébopsoriasis, pellicules, pityriasis capitis, pityriasis stéatoide, fausse teigne amiantacée, maladie de Leiner-Moussous

La dermite séborrhéique est opportuniste et profite des plaques psoriasiques pour s’installer.
La dermite séborrhéique est une dermatose chronique fréquente qui se traduit par des plaques rouges qui pèlent au visage et/ou des pellicules. Le sébum favorise la prolifération de champignons.

La dermite séborrhéique est une affection fréquente qui touche plus d’un million de Français (2% de la population). Le sébum favorise la prolifération de champignons du type Malassezia sp dont le rôle est connu dans la genèse de l’affection. Le stress et les facteurs émotionnels ont un rôle aggravant.
Il existe plusieurs formes de cette affection qui peut toucher le visage et le tronc, le cuir chevelu (pellicules) et l’enfant.

Rôle du sébum et de Malassezia sp.
La cause de la dermite séborrhéique n’est pas connue, on incrimine une levure du nom de Malassezia restricta. Ce champignon saprophyte est normalement présent à l’orifice des poils, il prolifère particulièrement dans les régions séborrhéiques – zones où la peau est grasse, riche en sébum et en glandes sébacées. Le système immunitaire est probablement impliqué dans la genèse de cette affection.

État pelliculaire du cuir chevelu
Les pellicules sont une des formes les plus fréquentes de la dermite séborrhéique. Le pityriasis simplex se traduit par de petites squames à la surface du cuir chevelu qui s’émiettent sur les épaules. Les squames peuvent être plus épaisses et adhérentes, le cuir chevelu est alors rouge et inflammatoire. Les démangeaisons sont fréquentes et soulagées par le shampooing. Les lésions cutanées prédominent souvent à la bordure des cheveux où elles forment une lisière rouge et squameuse.

Les formes sévères peuvent provoquer des croûtes épaisses qui enserrent les cheveux (fausse teigne amiantacée) et forment un casque séborrhéique. Lorsque les squames très grasses recouvrent le cuir chevelu, on parle de pityriasis stéatoide.

Dermite séborrhéique du nouveau-né et du nourrisson
Elle se manifeste par des croûtes jaunâtres du visage et du cuir chevelu (croûtes de lait) chez le petit bébé, celles ci peuvent s’accompagner de plaques croûteuses des fesses et des aisselles. Si les lésions s’étendent, le bébé peut être recouvert d’une éruption rouge et desquamative – c’est l’érythrodermie de Leiner-Moussous. La maladie de Leiner-Moussous régresse en général assez rapidement, mais elle se prolonge parfois par un eczéma atopique ou d’un psoriasis de l’enfant dont elle peut représenter les premiers symptômes.

Traitements allopathiques :
Les principes actifs sont : la pyrithione de zinc, le sulfure de sélénium, l’acide salicylique, la piroctone-olamine, le ciclopirox, l’huile de cade, les antifongiques du type climbazole ou clotrimazole.

Dermatite séborrhétique

La dermatite séborrhéique est une maladie de la peau comportant une inflammation avec desquamation de lambeaux gras de peau morte. La dermatite séborrhéique est une affection bénigne, inesthétique, qui touche le cuir chevelu et le visage de l’adulte ou du nourrisson. Le terme séborrhéique vient du mot « sébum » qui désigne la graisse fabriquée par la peau. Le retentissement psychologique de la dermatite séborrhéique peut être important avec un impact négatif sur la qualité de vie des patients atteints.

Risques / Causes

La dermatite séborrhéique (Chosidow O et al. Dermatite séborrhéique. Ann Dermatol Venereol 2002 ; 129 : S191-S193) est une maladie de peau chronique assez fréquente : 1 à 3 % de la population en France seraient atteints.
Elle évolue en fonction de l’âge et se manifeste rarement avant la puberté ; le pic de fréquence de la dermatite séborrhéique se situe entre 18 et 40 ans et elle n’atteint quasiment que les hommes. Elle diminue après 40 ans.
La dermatite séborrhéique est une pathologie bénigne ; seul le retentissement psychologique peut avoir des conséquences néfastes.

La dermatite séborrhéique survient dans les régions dites séborrhéiques, c’est-à-dire riches en sébum. Cependant, le sébum ne joue probablement qu’un rôle facilitateur de la prolifération d’un champignon cutané : le Malassezia furfur.
En effet, le Malassezia furfur est présent en forte densité dans les zones atteintes par la dermatite séborrhéique. Il existe également d’autres facteurs qui interviennent dans l’apparition de cette maladie : climatiques, neurologiques, psychologiques, médicamenteux…

Seborrheic dermatitis is a skin condition involving inflammation with bold strips of peeling dead skin. Seborrheic dermatitis is a benign condition, unsightly, affecting the scalp and face adult or infant. Seborrheic The term comes from the word « sebum » meaning fat produced by the skin. The psychological impact of seborrheic dermatitis can be important with a negative impact on the quality of life of patients.

Risks / Causes

Seborrheic dermatitis (Chosidow O et al Ann Dermatol Venereol Seborrheic Dermatitis 2002; 129:.. S191-S193) is a disease quite common chronic skin: 1 to 3% of the population in France would be achieved.
It evolves with age and rarely occurs before puberty; the peak frequency of seborrheic dermatitis is between 18 and 40 years and it almost reached the men. It decreases after 40 years.
Seborrheic dermatitis is a benign pathology; only the psychological impact can have adverse consequences.

Seborrheic dermatitis occurs in so-called seborrhoeic areas, that is to say rich in sebum. However, sebum probably plays a role of facilitating the proliferation of a skin fungus: Malassezia furfur.
Indeed, Malassezia furfur is present in high density in the areas affected by seborrheic dermatitis. There are also other factors involved in the occurrence of this disease: Climate, neurological, psychological, medical …

Démangeaison de la peau

Le prurit est le terme médical pour caractériser la démangeaison de la peau, qui conduit à se gratter pour apaiser la sensation désagréable. La « grattouille » est due à la stimulation de certains récepteurs nerveux de la peau, par des substances comme l’histamine. Cette libération locale de substances excitatrices n’a pas toujours de cause évidente : un prurit peut exister sans qu’il y ait de lésion dermatologique.

Causes

Lésion cutanée
Le prurit peut accompagner une lésion cutanée. Il « suffit » au patient, ou au médecin, de la reconnaître pour connaître la cause du prurit

Prurit Sensation de démangeaisons cutanées dont les causes peuvent être diverses : maladie de peau, signe d’une affection générale, ou pouvant survenir sans cause identifiable (prurit sine materia).

et la traiter en conséquence. Les situations les plus fréquentes sont l’eczéma atopique, l’urticaire (allergie alimentaire, de contact, médicamenteuse, ou par piqûres d’insectes), infections cutanées par des champignons (dermatophyties), la gale (maladie très contagieuse causée par le sarcopte et favorisée par une mauvaise hygiène), les coups de soleil (lucite estivale), les piqûres d’insectes, ou encore des allergies à certains médicaments (toxidermies médicamenteuses), enfin la varicelle.

Maladies du foie
En l’absence de lésion cutanée, on recherche d’autres causes organiques générales, comme des maladies du foie. La cholestase hépatique (bile bloquée, mal produite ou mal évacuée vers l’intestin) provoque l’accumulation des sels biliaires dans le sang, accumulation qui s’exprime par un prurit et une jaunisse de la peau. L’insuffisance rénale, certains cancers, leucémies ou lymphomes, maladies de la thyroïde ou des glandes parathyroïdes, l’infection par le VIH, ou les infections parasitaires, provoquent aussi des démangeaisons cutanées.

Peau sèche
Si toutes ses causes organiques ont été éliminées, on retiendra une peau sèche (xérose cutanée), particulièrement lors de l’avance en âge : la peau vieillissante (sénile) réagit plus souvent par une démangeaison à toutes sortes d’agression.

Psychologique
Enfin, en dernier recours, on évoque un « prurit psychogène », c’est-à-dire dû à la tension psychologique. Ce qui n’est pas le plus facile à soigner…

Itching is the medical term to describe the itching of the skin, which leads to scratching to soothe the discomfort. The « Scratch’n » is due to the stimulation of certain nerve receptors in the skin, with substances such as histamine. This local release of excitatory substances not always obvious cause: itching can exist without dermatological lesions.

Causes

Skin lesion
Itching may accompany a skin lesion. He « enough » to the patient or physician, to recognize it for the cause of pruritus

Itching sensation of itchy skin, the causes can be diverse: skin disease, indicating a general affection, or can occur without identifiable cause (pruritus sine materia).

and treat it accordingly. The most common situations are atopic eczema, urticaria (food allergy, contact, medication, or insect bites), skin infections by fungi (dermatophytes), scabies (highly contagious disease caused by the mite and favored by poor hygiene), sunburn (summer light eruption), insect bites, or allergies to certain drugs (drug toxidermia) finally chickenpox.

Liver Diseases
In the absence of cutaneous lesions, one research other general organic causes, such as liver disease. Hepatic cholestasis (blocked bile, poorly produced or incorrectly evacuated to the intestine) causes the accumulation of bile salts in the blood accumulation which is expressed by itching and jaundice of the skin. Kidney disease, certain cancers, leukemias or lymphomas, diseases of the thyroid or parathyroid glands, HIV infection, or parasitic infections, also cause skin itching.

Dry skin
If all organic causes have been eliminated, dry skin (cutaneous xerosis) we note, especially when advancing age: aging skin (senile) reacts usually by an itch to all kinds of aggression.

Psychological
Finally, as a last resort, it evokes a « psychogenic pruritus », that is to say, due to the psychological tension. This is not the easiest to treat …

Cancer de la peau

Le cancer de la peau est un cancer en augmentation constante : exposition solaire, utilisation des lampes à bronzer…Sont diagnostiqués en France environ 60 000 cancers de la peau chaque année (une grande majorité étant des carcinomes).

Causes

Le facteur de risque le plus important dans la survenue d’un cancer de la peau est l’exposition excessive et intermittente au soleil avec brûlures solaires.
Le moment où cette exposition devient excessive varie en fonction du phototype et du phénotype de la personne.

Les personnes qui ont une peau claire propice aux coups de soleil, des tâches de rousseur, des yeux clairs et cheveux blonds ou roux ont un risque beaucoup plus important de développer un mélanome que les autres.

La présence sur la peau de nævus en très grand nombre et d’aspect atypique est également un facteur de risque.

The skin cancer is a cancer steadily increasing: sun exposure, use sun lamps … are diagnosed in France around 60 000 skin cancer each year (the vast majority being carcinomas).

Causes

The most important risk factor in the occurrence of skin cancer is excessive and intermittent exposure to sunlight with sunburn.
When this becomes excessive exposure varies depending on skin type and the individual’s phenotype.

People who have fair skin conducive to sunburn, freckles on, light eyes and blond or red hair have a much higher risk of developing melanoma than others.

The presence of nevi on the skin in large numbers and atypical aspect is also a risk factor.

Brûlures

Les brûlures sont des blessures qui atteignent essentiellement la peau et les tissus. Les brûlures peuvent être mineures si les dommages cutanés engendrés sont limités, mais elles peuvent aussi être extrêmement graves et menacer le pronostic vital en cas de lésions majeures.
Les brûlures sont classées en fonction de leur profondeur (du 1er degré, le plus superficiel, au 3e degré, le plus profond) et de leur étendue.

Risques / Causes

Chaque année, les brûlures font 400 000 victimes et occasionnent 1 000 décès.Habituellement, les brûlures sont provoquées par des facteurs extérieurs dont le plus fréquent est le feu ; les médecins parlent de brûlures thermiques. Si la peau est détruite sur une grande surface, elle ne peut plus assurer ses fonctions principales de protection contre les infections, de régulation de la température du corps et de prévention de l’évaporation des liquides de l’organisme. Les risques d’infection, de déshydratation et d’hypothermie ou baisse de la température corporelle sont alors très importants et graves.

La peau est composée de 3 couches : de l’épiderme, couche la plus superficielle au derme et à l’hypoderme, couche la plus profonde. En fonction de leur gravité, les brûlures détruisent l’épiderme (on parle de brûlure du 1er degré), le derme (brûlure du 2e degré) ou l’hypoderme (brûlure du 3e degré).Les brûlures peuvent être dues à des flammes mais également au contact d’un liquide chaud (peau ébouillantée) ou d’un objet chaud (brûlures par contact), aux rayons ultraviolets du soleil et plus rarement à un courant électrique ou à un liquide chimique.

Burns are wounds that substantially reach the skin and tissues. Minor burns can be caused if the skin damage is limited, but they can also be extremely serious and life-threatening in case of major damage.
Burns are classified according to their depth (1st degree, the most superficial, 3rd degree, the deepest) and their extent.

Risks / Causes

Each year, 400,000 are burns victims and cause décès.Habituellement 1000, burns are caused by external factors, the most common is the fire; Doctors speak of thermal burns. If the skin is destroyed over a large area, it can no longer perform its main functions of protection against infections, regulating body temperature and preventing the evaporation of body fluids. The risk of infection, dehydration and hypothermia or decrease in body temperature is then very important and severe.

The skin consists of three layers: the epidermis, the outermost layer of the dermis and hypodermis, the deepest layer. Depending on their severity, burns destroy the epidermis (called 1st degree burns), dermis (second degree burn) or hypodermis (3rd degree burn) .The burns can be caused by fire but also in contact with a hot liquid (scalded skin) or a hot object (contact burns), ultraviolet sunlight and more rarely to an electric current or a chemical liquid.

Ampoules Cutanées

Les ampoules cutanées apparaissent spontanément lorsqu’il y a frottement important et répété de l’épiderme.Les ampoules naissent d’une réaction des cellules à cette friction par cisaillement qui agit comme une brûlure : la couche superficielle de la peau se décolle jusqu’à former une cloque au sein de laquelle suinte un liquide clair, une sérosité.
L’ampoule équivaut à un deuxième degré de brûlure (caractérisé par les cloques).

Skin blisters appear spontaneously when there is significant and repeated friction of the epidermis. The bulbs arise from a reaction of the cells to shear the friction which acts as a burn : the surperficial layer of the skin peels off until forming a blister in which a clear liquid – serum – oozes.
The bulb is equivalent to a second degree burn (characterized by the blisters).

Acné chez la femme

L’acné dite vulgaire est une hypersécrétion des glandes sébacées associée à une obstruction des pores de la peau par les cellules cutanées. Elle se manifeste donc où la peau est la plus grasse, le visage (front, nez, menton mais elle peut s’étendre à toute la face), le haut du dos et des épaules.
Le sébum produit en excès ne s’éliminant plus il forme des microkystes (« points blancs ») lorsque le pore est totalement fermé, ou des comédons (les « points noirs ») lorsqu’il est partiellement ouvert et que le sébum s’oxyde (noircit) au contact de l’air.
L’inflammation se produit spontanément ou par la manipulation des microkystes, qui deviennent alors des boutons rouges (papules), parfois purulents (pustules). Le principal germe responsable de cette inflammation est une bactérie, Propionibacterium acnes. La croûte des pustules laisse souvent place à des cicatrices plus ou moins profondes et étendues.

Risques

L’acné de l’adulte est souvent moins sévère que lors de la puberté. Le retentissement psychologique est généralement moins important que chez l’adolescent, mais une peau grasse, irrégulière, présentant des pores dilatés, des boutons et/ou des cicatrices reste mal vécue. Lorsque l’acné laisse des marques cutanées importantes et irréversibles, des interventions dermatologiques spécifiques (dermabrasion, laser…etc.) et onéreuses peuvent être nécessaires pour les supprimer ou les estomper.

Acne vulgaris is called hypersecretion of sebaceous glands associated with clogging of the pores of the skin by the skin cells. It therefore occur where the skin is oilier, the face (forehead, nose, chin but it can extend to the entire face), upper back and shoulders.
Sebum, produced in excess doesn’t remove anymore and forms more mycrocysts (« white spots ») when the pore is completely closed, or comedones (« black spots ») when it is partially opened and the sebum oxidizes (darkens) in contact with the air.
Inflammation occur spontaneously or by manipulation microcysts, which then become red bumps (papules), sometimes pus (pustules). The main germ responsible for this inflammation is a bacterium, Propionibacterium acnes. The pustules crust often gives way to more or less deep and extensive scarring.

Risks

Acne in adults is often less severe than during puberty. The psychological impact is generally lower than in adolescents, but oily skin, irregular, with large pores, pimples and/or scars still resented. When acne leaves important and irreversible skin marks, specific dermatological and expensive procedures (dermabrasion, laser … etc.) may be necessary to remove or fade.

Acné

L’acné est une maladie de peau très fréquente caractérisée par une inflammation du follicule pileux (d’où le nom de folliculite) avec peau grasse et boutons. L’acné évolue par poussées et affecte principalement les adolescents. Certaines formes sévères d’acné ont un retentissement physique et psychologique tel qu’il est responsable d’un handicap social important à un âge réputé difficile.

Causes

L’acné est une maladie du follicule pileux et pilosébacé chargé de produire le sébum, corps gras protecteur de la peau. La cause principale de l’acné est due à une hyperproduction de sébum sous influence hormonale. Le sébum s’accumule et forme des lésions rétentionnelles, puis une surinfection par des bactéries comme Propionibacterium acnes conduit à des lésions inflammatoires.
Composition du sébum et de la flore cutanée bactérienne, taux d’hormones mâles mais aussi terrain familial sont des facteurs influençant l’acné.

Acne is a very common skin disease characterized by inflammation of the hair follicle (hence the name of folliculitis) with oily skin and pimples. Acne develops in spurts and affects mostly adolescents. Some severe forms of acne have physical and psychological impact as it is responsible for a significant social handicap at an age deemed difficult.

Causes

Acne is a disease of the hair follicle and pilosebaceous responsible for producing sebum, protecting fats of the skin. The main cause of acne is due to an overproduction of sebum under hormonal influence. Sebum accumulates and retentional forms occur and then a secondary infection by bacteria such as Propionibacterium acnes leads to inflammatory lesions.
Composition of sebum and bacterial skin flora, levels of male hormones but also family plot are factors influencing acne.

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