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Maladies de Bouche

Les calculs biliaires dans le foie et dans la vésicule biliaire interfèrent avec la digestion et l’absorption de la nourriture, avec la stagnation des déchets dans les intestins. Ces déchets y créent un environnement anaérobique acide, idéal à la prolifération de bactéries et parasites nocifs. Les infections bactériennes (le muguet et les infections virales (l’herpès) dans la bouche ne se manifestent que lorsque les intestins accumulent des quantités considérables de résidus non digérés. Les bactéries essaient de décomposer une partie de ces déchets, tout en produisant des toxines. Certaines de ces toxines sont ensuite absorbées dans le sang et la lymphe, qui les transportent dans le foie. Les toxines restantes stagnent dans les intestins où elles deviennent une source constante d’irritation pour les parois intestinales. A la longue, les parois intestinales deviennent enflammées et des lésions ulcéreuses apparaissent. Le tissu intestinal endommagé commence à « inviter » de plus en plus de microbes vers la blessure pour aider à détruire et à éliminer toutes les cellules faibles et endommagées.

  • Le muguet indique la présence de grandes quantités de bactéries à travers tout le système gastro-intestinal, y compris la bouche (dont le revêtement muqueux n’est pas aussi résistant que celui du tube digestif). La source du muguet se situe dans les intestins (candidose). La source de la plus grande partie du système immunitaire du corps humain est localisée dans le revêtement muqueux des intestins, dont l’affaiblissement produit le muguet.
  • Le virus herpès, à la différence des bactéries qui attaquent l’extérieur de la cellule, attaquent l’intérieur de la cellule (le noyau). Les « agresseurs » (virus comme bactéries) ont uniquement pour cible les cellules faibles, en mauvaise santé, celles endommagées ou ne fonctionnant plus convenablement, susceptibles de muter en cellules cancéreuses.
  • Un ulcère de la bouche au niveau de la lèvre inférieure indique une inflammation similaire dans le grand intestin. Des ulcères répétés dans l’un des 2 coins de la bouche indiquent la présence d’ulcères duodénaux. Les ulcères de la langue, en fonction de leur emplacement, indiquent des inflammations dans le tube digestif (estomac, intestin grêle, appendice, gros intestin).

Les calculs biliaires peuvent mener à d’autres problèmes dans la bouche, empêchant la sécrétion correcte de bile, réduisant l’appétit et la sécrétion de salive dans les glandes salivaires. La salive nettoie la bouche, garde les muqueuses molles et flexibles. S’il n’y en a pas assez, des bactéries destructrices commencent à envahir la bouche, baignant dans un environnement acidifié et toxique. Cela peut mener à des caries et d’autres problèmes dentaires.

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Cirrhose biliaire primitive

La cirrhose biliaire primitive (CBP) est une maladie inflammatoire auto-immune des petites voies biliaires situées à l’intérieur du foie (on parle de voies biliaires intrahépatiques). La CBP est de cause inconnue et survient chez la femme après 40 ans.
Les médecins utilisent le terme « cirrhose » même si cette dernière ne survient pas immédiatement. Mais comme toutes les cirrhoses hépatiques, la CBP aboutit progressivement à une destruction des cellules du foie (appelés hépatocytes) et à terme, ce dernier est remplacé par une fibrose qui ne lui permet plus d’assurer ses fonctions. Le diagnostic repose sur la ponction biopsie du foie ou ponction biopsie hépatique (PBH).

Risques / Causes

Plus de 10 000 cas sont recensés en France, ce qui représente une prévalence de la maladie de 20 pour 100 000 habitants. La CBP touche préférentiellement les femmes de plus de 40-45 ans, avec une prévalence pouvant atteindre chez elles 86 pour 100 000.
Des facteurs génétiques et des facteurs environnementaux (tabac, infections, produits chimiques…) expliqueraient la maladie.

La CBP est d’abord caractérisée par une atteinte inflammatoire des canaux biliaires situés à l’intérieur du foie. Cette inflammation portale et la destruction des cellules (on parle de nécrose) se traduisent par un syndrome de stase (ou cholestase) qui autoentretient le phénomène. Une cause auto-immune est suspectée, car des autoanticorps qui détruisent les cellules sont quasiment toujours mis en évidence.
La cirrhose n’apparaît que tardivement, avec des lésions des tissus du foie qui se fibrosent. Ce stade de cirrhose est alors irréversible.

Primary biliary cirrhosis (PBC) is an autoimmune inflammatory disease of the small bile ducts located inside the liver (known as intrahepatic bile ducts). CBP is of unknown cause and occurs in women after 40 years.
Doctors use the term « cirrhosis » even if this does not occur immediately. But like all liver cirrhosis, CBP gradually leads to a destruction of liver cells (called hepatocytes) and term, it is replaced by fibrosis that prevents him from exercising his functions. Diagnosis is based on liver biopsy or liver biopsy (PBH).

Risks / Causes

More than 10,000 cases are reported in France, representing a prevalence of 20 per 100,000 inhabitants. CBP preferentially affects women over 40-45 years, with a prevalence of up to 86 home to 100,000.
Genetic factors and environmental factors (smoking, infections, chemicals …) explain the disease.

CBP is first characterized by inflammatory disease of the bile ducts located inside the liver. This portal inflammation and destruction of cells (called necrosis) result in a stasis syndrome (or cholestasis) that autoentretient the phenomenon. An autoimmune cause is suspected, because of autoantibodies that destroy the cells are almost always highlighted.
Cirrhosis appears only later with liver tissue lesions that fibrosent. It cirrhosis is then irreversible.

Bruxisme

Le bruxisme correspond à une contraction inconsciente et involontaire des muscles des mâchoires. Il se traduit soit par un serrement (statique), soit par un frottement ou grincement des dents (dynamique), la nuit ou le jour. Observé consciemment, il peut se contrôler par la volonté, ce qui en limite les conséquences.

Le grincement se produit plus fréquemment pendant la nuit, de façon incontrôlable et sans réveiller le bruxomane (= personne qui bruxe). Il génère des bruits particulièrement gênants pour le voisin de lit. Il s’accompagne parfois de raideur ou de douleur musculaire le matin au réveil, ainsi que par des craquements de l’articulation temporo-mandibulaire (située juste en avant de l’oreille, articulation entre les mâchoires supérieures et inférieures).

Causes

Selon les estimations, le bruxisme concerne 10 à 20% de la population. Il est responsable de traumatismes dentaires, d’un fonctionnement anormal (trop important) des muscles de la mâchoire, donc d’une surcharge de travail pour les articulations temporo-mandibulaires. En détails :
A court terme
– Au réveil, crispations et/ou douleurs des mâchoires, troubles articulaires à type de claquements brutaux ou de difficultés à ouvrir la bouche (crispation musculaire invicible).
– Tensions musculaires étendu aux autres muscles de la face, entraînant des maux de tête (céphalées) et des douleurs du cou (cervicales).
A NOTER : la qualité du sommeil du bruxomane n’est généralement pas altérée.
Les conséquences musculo-articulaires
– la contraction répétée des muscles masticateurs aboutit souvent à leur augmentation de volume et/ou dureté à la palpation (hypertrophie)
– la sollicitation excessive de l’articulation temporo-mandibulaire provoque des craquements, des ressauts ou une gêne à l’ouverture de la bouche.
Les conséquences bucco-dentaires à moyen et long terme
– Le grincement est responsable, en fonction de son intensité, d’usure progressive des dents, de fêlures ou de fractures dentaires. Ces dommages concernent également les prothèses dentaires fixes : couronnes en résine ou en céramique.
– Ajoutés à une mauvaise hygiène dentaire, les traumatismes dentaires peuvent conduire à une mobilité anormale des dents jusqu’au « déchaussement » par atteinte associée de la gencive

Bruxism is an unconscious and involuntary contraction of the jaw muscles. This results in either a tightness (static) or by friction or grinding teeth (dynamic), night or day. Consciously observed, it can be controlled by the will, which limits the consequences.

The grinding occurs more frequently during the night, uncontrollably and without waking bruxomane (= person Bruxe). It generates particularly annoying noises for bed neighbor It is sometimes accompanied by stiffness or muscle pain after waking up, and by cracking of the temporomandibular joint (located just in front of the ear, articulation between the upper and lower jaws).

Causes

According to estimates, bruxism concerns 10-20% of the population. He is responsible for dental trauma, abnormal functioning (excessive) of the jaw muscles, so a work overload for temporomandibular joints. In detail :
Short term
– Wake up tensions and / or jaw pain, joint disorder type brutal slamming or difficulty opening the mouth (muscle twitching invincible).
– Muscle tension extended to other muscles of the face, causing headache (headache) and neck pain (cervical).
NOTE: bruxomane the quality of sleep is usually not impaired.
Musculo-articular consequences
– The repeated contraction of masticatory muscles often leads to their increased volume and / or hardness on palpation (hypertrophy)
– Excessive stress on the TMJ causes crunches, projections or discomfort at the opening of the mouth.
Oral consequences in the medium and long term
– Grinding is responsible, depending on its intensity, progressive tooth wear, fractures or dental fractures. This damage also concern fixed dentures: Crowns resin or ceramic.
– Added to poor dental hygiene, dental trauma can lead to abnormal tooth mobility to the « loosening » of the gum associated reached.

Bronchite Hivernale Aigue

La bronchite hivernale aiguë est définie comme une inflammation transitoire des bronches. Les bronches sont les voies aériennes qui conduisent l’air de la trachée (gorge) jusqu’aux fonds des poumons (alvéoles pulmonaires), où s’effectue l’échange de gaz entre l’air et le sang : l’oxygène (O2) et le gaz carbonique (CO2), c’est à dire la respiration.

Risques / Causes

La bronchite hivernale aiguë « classique » est une infection virale bénigne. Elle régresse le plus souvent sans traitement en quelques jours chez une personne en bonne santé par ailleurs. Une bronchite hivernale aiguë rend néanmoins les bronches plus sensibles aux autres agressions extérieures, d’abord aux bactéries. Elle aggrave aussi les inflammations bronchiques préexistantes, comme l’asthme. Les asthmatiques bien éduqués prévoient cette aggravation et ajustent leur traitement anti-asthmatique en conséquence.
Le risque de surinfection bactérienne (à pneumocoques notamment) concerne surtout les patients vulnérables dont l’état peut évoluer vers une infection du poumon (pneumonie). Les personnes vulnérables sont celles de plus 65 ans, ou ayant une maladie chronique pulmonaire (broncho-pneumopathie obstructive, insuffisance respiratoire) ou cardiaque (infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque), mais aussi les diabétiques et les déficients immunitaires.
Toute aggravation d’une maladie bronchique peut induire une détresse respiratoire mortelle en l’absence d’intervention médicale rapide.

Les bronchites hivernales aiguës sont causées par un virus dans neuf cas sur dix, responsable d’épidémies saisonnières de rhinites (rhume), pharyngites, laryngites, ou de grippe : adénovirus, rhinovirus, virus respiratoire syncitial (VRS), virus influenzae (grippe). Ces virus s’accrochent aux parois des bronches et les infectent, provoquant une réaction de défense inflammatoire avec douleur (irritation qui fait tousser) et gonflement (œdème) qui gêne la respiration. Les cellules produisent plus de mucus pour évacuer les intrus viraux. Ce mucus supplémentaire encombre les bronches ; il faut tousser beaucoup plus pour l’évacuer.
La bronchiolite du nourrisson est une forme particulière de bronchite virale due au virus respiratoire syncitial (VRS).

Les bronchites sont plus rarement dues initialement à des infections bactériennes : mycoplasmes ou Chlamidiae, Haemophilus influenzae. Attention cependant, on voit revenir la Bordetella pertussis, l’agent de la coqueluche, particulièrement dangereux pour les nourrissons.

Acute winter bronchitis is defined as a transient inflammation of the bronchi. Bronchi are the airways that leads the air in the trachea (throat) to the bottoms of the lung (alveoli), where is effected the exchange of gases between air and blood oxygen (O2 ) and carbon dioxide (CO2), ie respiration.

Risks / Causes

Acute bronchitis winter « classic » is a benign viral infection. Usually regresses without treatment in a few days in a person in good health otherwise. Acute bronchitis winter still makes them more susceptible to other external attacks bronchi, first to the bacteria. It also aggravates the existing bronchial inflammations such as asthma. Well behaved this worsening asthma plan and adjust their anti-asthmatic treatment accordingly.
The risk of bacterial infection (including pneumonia), especially for vulnerable patients whose condition may progress to lung infection (pneumonia). Vulnerable people are those over 65 or with chronic lung disease (obstructive pulmonary disease, respiratory failure) or heart (myocardial infarction, heart failure), but also diabetes and immune deficient.
Any worsening of lung disease may induce fatal respiratory distress in the absence of prompt medical attention.

Acute bronchitis winter are caused by a virus in nine cases out of ten, responsible for epidemics of seasonal rhinitis (hay), pharyngitis, laryngitis, or flu: adenovirus, rhinovirus, respiratory syncytial virus (RSV), Influenzae virus (flu) . These viruses cling to the walls of the bronchi and infect, causing inflammatory defense reaction with pain (irritation which causes coughing) and swelling (edema) which interferes with breathing. The cells produce more mucus to drain viral intruders. This extra mucus hindrance bronchi; must cough to evacuate much.
Bronchiolitis in infants is a particular form of viral bronchitis due to respiratory syncytial virus (RSV).

Bronchitis are rarely originally due to bacterial infections: Chlamidiae or mycoplasma, Haemophilus influenzae. Beware though, we see the return Bordetella pertussis, the whooping cough agent, particularly dangerous for infants.

Bronchiolite

La bronchiolite tire son nom de l’atteinte des petites bronches par un virus courant (le VRS ou virus respiratoire syncytial) et très contagieux. La période de prédilection des bronchiolites est l’hiver avec un mode d’évolution épidémique. La bronchiolite touche essentiellement les nourrissons de 1 mois à 2 ans. Comme toutes les atteintes virales, la bronchiolite peut se transmettre très facilement entre nourrissons ou à partir d’un rhume d’enfant ou d’adulte.

Risques / Causes

La bronchiolite atteint chaque hiver près de 460 000 bébés de 1 mois à 2 ans soit 30 % des nourrissons, posant un problème de santé publique, notamment en cas de pics épidémiques avec la saturation des consultations de ville et des urgences hospitalières pédiatriques. La tendance est à l’augmentation des cas chaque année. Vie en collectivité et urbanisation favorisent la transmission interhumaine du virus.

Le VRS est le virus principalement impliqué dans la bronchiolite mais d’autres virus peuvent être retrouvés. Ces virus se transmettent directement par les sécrétions contaminées (salive, postillons…) ou indirectement par les mains ou des objets souillés. La durée d’incubation est de 2 à 8 jours et il faut 3 à 7 jours pour que le virus disparaisse totalement. Les symptômes sont liés à l’inflammation provoquée et à l’obstruction des voies aériennes (bronchioles). Le cas le plus fréquent est la guérison sans séquelle mais des lésions anatomiques peuvent survenir exceptionnellement.

Bronchiolitis is named after the achievement of small bronchi by a common virus (RSV or Respiratory Syncytial Virus) and very contagious. The preferred period is winter bronchiolitis with an epidemic evolution mode. Bronchiolitis affects mostly infants from 1 month to 2 years. Like all viral attacks, bronchiolitis can be spread very easily among infants or children from a cold or adult.

Risks / Causes

Bronchiolitis reaches every winter near 460,000 babies from 1 month to 2 years 30% of infants, posing a public health problem, especially in cases of epidemic peaks with the saturation of the city of consultations and pediatric hospital emergencies. The trend is the increase in cases each year. Community life and urbanization promote human transmission of the virus.

RSV is mainly involved in the virus bronchiolitis but other viruses can be found. These viruses are transmitted by contaminated secretions (saliva, postillions …) or indirectly by contaminated hands or objects. The incubation period is 2 to 8 days, and it takes 3 to 7 days for the virus disappears completely. Symptoms are related to inflammation caused and obstruction of the airways (bronchioles). The most common case is healing without sequelae but anatomical lesions may occur exceptionally.

Brûlures

Les brûlures sont des blessures qui atteignent essentiellement la peau et les tissus. Les brûlures peuvent être mineures si les dommages cutanés engendrés sont limités, mais elles peuvent aussi être extrêmement graves et menacer le pronostic vital en cas de lésions majeures.
Les brûlures sont classées en fonction de leur profondeur (du 1er degré, le plus superficiel, au 3e degré, le plus profond) et de leur étendue.

Risques / Causes

Chaque année, les brûlures font 400 000 victimes et occasionnent 1 000 décès.Habituellement, les brûlures sont provoquées par des facteurs extérieurs dont le plus fréquent est le feu ; les médecins parlent de brûlures thermiques. Si la peau est détruite sur une grande surface, elle ne peut plus assurer ses fonctions principales de protection contre les infections, de régulation de la température du corps et de prévention de l’évaporation des liquides de l’organisme. Les risques d’infection, de déshydratation et d’hypothermie ou baisse de la température corporelle sont alors très importants et graves.

La peau est composée de 3 couches : de l’épiderme, couche la plus superficielle au derme et à l’hypoderme, couche la plus profonde. En fonction de leur gravité, les brûlures détruisent l’épiderme (on parle de brûlure du 1er degré), le derme (brûlure du 2e degré) ou l’hypoderme (brûlure du 3e degré).Les brûlures peuvent être dues à des flammes mais également au contact d’un liquide chaud (peau ébouillantée) ou d’un objet chaud (brûlures par contact), aux rayons ultraviolets du soleil et plus rarement à un courant électrique ou à un liquide chimique.

Burns are wounds that substantially reach the skin and tissues. Minor burns can be caused if the skin damage is limited, but they can also be extremely serious and life-threatening in case of major damage.
Burns are classified according to their depth (1st degree, the most superficial, 3rd degree, the deepest) and their extent.

Risks / Causes

Each year, 400,000 are burns victims and cause décès.Habituellement 1000, burns are caused by external factors, the most common is the fire; Doctors speak of thermal burns. If the skin is destroyed over a large area, it can no longer perform its main functions of protection against infections, regulating body temperature and preventing the evaporation of body fluids. The risk of infection, dehydration and hypothermia or decrease in body temperature is then very important and severe.

The skin consists of three layers: the epidermis, the outermost layer of the dermis and hypodermis, the deepest layer. Depending on their severity, burns destroy the epidermis (called 1st degree burns), dermis (second degree burn) or hypodermis (3rd degree burn) .The burns can be caused by fire but also in contact with a hot liquid (scalded skin) or a hot object (contact burns), ultraviolet sunlight and more rarely to an electric current or a chemical liquid.

Bradycardie

La bradycardie fait partie des troubles du rythme cardiaque et correspond à un ralentissement de la fréquence cardiaque. Le rythme cardiaque normal au repos chez l’adulte est entre 60 et 75 battements par minute (bpm) et la bradycardie est définie par une fréquence inférieure à 60 bpm. Les bradycardies proviennent de plusieurs mécanismes : certaines bradycardies sont physiologiques (chez le sportif entraîné par exemple), d’autres révèlent une maladie cardiaque qu’il faut diagnostiquer et traiter.

Causes

Le cœur bat grâce à la transmission d’influx électriques qui commandent le rythme cardiaque. En cas de ralentissement voire d’interruption de cette transmission, on parle de bradycardie. La bradycardie peut être due à un ralentissement de la commande des influx (bradycardie sinusale du sportif par exemple), à une anomalie de la conduction entre la commande et le muscle cardiaque (bloc sinoauriculaire) ou encore à un défaut de conduction au sein du cœur (entre les oreillettes et ventricules) de l’influx (bloc auriculoventriculaire). Des maladies cardiaques (infarctus…) ou extracardiaques (hypothyroïdie) sont des causes possibles de bradycardies.

Bradycardia is part of the heart rhythm and corresponds to a slower heart rate. The normal resting heart rate in adults is between 60 and 75 beats per minute (bpm) and bradycardia is defined by a frequency lower than 60 bpm. Bradycardia come from several mechanisms: some are physiological bradycardia (eg resulted in the sport), others reveal a heart disease that must be diagnosed and treated.

Causes

The heart beats thanks to the electrical impulses that control the transmission of heart rate. In case of slowdown or interruption of the transmission, it is called bradycardia. Bradycardia may be due to a slowdown in control of impulses (sinus bradycardia sportsman for example) to an abnormality of the conduction between the control and the heart muscle (the sinus block) or to defective conduction in the heart (between the atria and ventricles) of the impulses (atrioventricular block). Heart disease (myocardial …) or extracardiac (hypothyroidism) are possible causes of bradycardia.

Bronchopneumopathie Chronique Obstructive BPCO

La bronchopneumopathie chronique obstructive ou BPCO se définit par une inflammation et une obstruction progressive des bronches, réversible en fonction du degré de la maladie. La BPCO est essentiellement liée au tabac et cause des lésions du poumon et des bronches. L’obstruction entraîne peu à peu la diminution du calibre des bronches, empêchant ainsi le passage de l’air (avec essoufflement à l’effort, puis pour des efforts minimes, et enfin au repos). Longtemps silencieuse, la BPCO se manifeste malheureusement à un stade déjà tardif de la maladie.

Causes

Entre 6 et 8 % de la population adulte sont atteints de BPCO, soit plus de 3,5 millions de personnes. La BPCO cause 16 000 décès chaque année et 100 000 malades nécessitent une oxygénothérapie ou un appareillage de respiration à domicile (1).
Dans plus de 80 % des cas, la BPCO est due au tabac. Insuffisamment diagnostiquée, la BPCO évolue à bas bruit, jusqu’aux premiers symptômes, à l’insuffisance respiratoire chronique et au décès prématuré. Les personnes atteintes sont des fumeurs ou ex-fumeurs, hommes pour la plupart, à partir de 45 ans.

 

Chronic obstructive pulmonary disease or COPD is defined by inflammation and progressive obstruction of bronchi, reversible depending on the degree of the disease. COPD is primarily related to tobacco and lung lesions due and bronchi. The obstruction results in gradually decreasing the bronchial tubes, thus preventing the passage of air (with breathlessness on exertion, and for minimal efforts, and finally at rest). Long silent, COPD is unfortunately evident to an already late stage of the disease.

Causes

Between 6 and 8% of the adult population suffer from COPD, over 3.5 million people. COPD causes 16,000 deaths each year and 100 000 patients require oxygen therapy or home breathing apparatus (1).
In over 80% of cases, COPD is caused by tobacco. Underdiagnosed, COPD develops low noise, until the first symptoms, chronic respiratory failure and premature death. The sufferers are smokers or ex-smokers, mostly men, from 45 years.

Boulimie

La boulimie est un trouble du comportement alimentaire qui consiste à ingérer hors des repas et au moins 2 fois par semaine des quantités massives de nourriture dans un temps très court (en moins de 2 heures) : les médecins parlent d’hyperphagie.
Elle vise des aliments plutôt riches en calories (2000 à 5000 kcal) ou bourratifs (pain, pâtes…). Il n’y a pas de faim préalable, ni de rassasiement ou plaisir. L’ingurgitation se fait de manière compulsive (irrépressible). Plusieurs crises sont possibles dans une même journée.

Conséquences

Les vomissements provoqués pour contrer les effets de la crise boulimique exposent à une baisse du potassium sanguin, responsable de troubles du rythme cardiaques graves, comme la mort subite.
Une fois sur deux, la boulimie alterne avec l’anorexie. Nombre d’anorexiques souffrent à un moment ou à un autre de boulimie.
Un trouble du comportement alimentaire est rarement isolé, d’autres troubles mentaux l’accompagnent, qui ajoutent à la gravité.
Comme pour l’anorexie, l’anxiété et la dépression exposent à un risque suicidaire élevé. Les addictions sont présentes dans environ 30% des cas : abus d’alcool et de drogue, d’amphétamines et de tranquillisants.

Bulimia is an eating disorder that involves ingesting between meals and at least 2 times a week of massive amounts of food in a very short time (less than 2 hours): doctors talk binge.
It seeks food rather high in calories (2000-5000 kcal) or bourratifs (bread, pasta …). There is no prior hunger or satiation or pleasure. The swallowing is compulsively (unstoppable). Several crises are possible in the same day.

Consequences

Vomiting caused to counter the effects of the crisis bulimic face a decrease in blood potassium, responsible for serious heart rhythm disorders, such as sudden death.
Once two, bulimia alternates with anorexia. Many anorexics suffer at one time or another bulimia.
An eating disorder is rarely isolated, other mental disorders accompanying it, which add to the severity.
As with anorexia, anxiety and depression exhibit a high suicide risk. Addictions are present in about 30% of cases abuse of alcohol and drugs, amphetamines and tranquilizers.

Bouche Sèche

La sécheresse buccale (ou xérostomie pour les médecins) est liée à la diminution ou à la disparition de la sécrétion de salive dont le volume normal est compris entre 500 à 1500 ml/jour.

Risques

La sècheresse buccale concerne près d’un quart de la population et jusqu’à 30% des plus de 65 ans.
La salive aide au nettoyage des dents, de la plaque dentaire et des muqueuses buccales, leur permet de se défendre contre les infections et constitue la première étape de la digestion des aliments. La diminution de la salive favorise donc les petites plaies de la bouche (en particulier au niveau des prothèses dentaires), de la langue et des lèvres ; ainsi que les caries dentaires, les infections des gencives et les candidoses buccales, voire une atteinte osseuse des maxillaires.
La bouche sèche gêne la mastication, la digestion des aliments (les enzymes contenus dans la salive ramollissent le bol alimentaire), la déglutition et la parole. Chez les gens âgés, le manque de salive persistant risque d’aboutir à la dénutrition.

Dry mouth (xerostomia or for Physicians) is linked to the decrease or disappearance of the secretion of saliva which the normal volume is between 500 to 1500 ml / day.

Risks

Dry mouth affects nearly a quarter of the population and up to 30% over 65 years.
Saliva helps clean teeth, dental plaque and oral mucosa, allowing them to defend against infections and is the first step in digestion of food. The decrease in saliva thus favors small wounds of the mouth (particularly in dentures), tongue and lips; as well as tooth decay, infections of the gums and oral candidiasis or maxillary bone involvement.
Dry mouth discomfort chewing, digesting food (the enzymes in saliva soften the food bowl), swallowing and speech. In elderly people, the continuing lack of saliva may lead to malnutrition.

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