au coeur de la NATURE…
Perte de Poids

Le désir de perdre du poids est alimenté par les médias, l’industrie cosmétique… Nous vivons dans un monde à solution rapide… Un poids excessif est un symptôme de digestion et de métabolisme perturbés.

En savoir plus…

Naturopathie

Consultation pour Revitaliser tous vos systèmes, Optimiser votre puissance naturelle de guérison, Nettoyer vos toxines, Soigner la cause des maladies..

En savoir plus...

Encyclopédie médicale

Eczéma

La dermatite atopique (ou eczéma atopique, ou dermite du nourrisson, anciennement eczéma constitutionnel) est une pathologie allergique touchant la peau et atteignant préférentiellement les enfants, évoluant par poussée, de diagnostic clinique et dont le traitement est symptomatique.

Maladie de la peau inflammatoire et chronique, l’eczéma peut toucher tout le monde, à n’importe quel âge. Cette maladie peut apparaître à différents endroits sur le corps et, fait rassurant, l’eczéma n’est pas du tout une affection contagieuse.

Les types d’eczéma diffèrent selon la cause.

  • l’eczéma atopique,
  • l’eczéma xérotique,
  • l’eczéma de contact allergique (ECA),
  • l’eczéma dyshidrosique,
  • l’eczéma impétiginisé,
  • la dermatite de contact irritant
  • la dermatite séborrhéique infantile
  • la dermatite séborrhéique de l’adulte,
  • l’eczéma variqueux
  • l’eczéma discoïde,
  • l’eczéma photosensible.

L’eczéma réfère à une affection inflammatoire chronique de la peau, caractérisée par une sécheresse cutanée et des lésions rouges qui démangent intensément. Ces lésions peuvent suinter, s’écailler, former des croûtes ou durcir. Les symptômes vont de légers à graves, et l’affection peut nuire à la qualité de vie. L’eczéma peut se manifester partout sur la peau et est souvent présent au niveau des muscles fléchisseurs (le creux des coudes ou le derrière des genoux).

La cause exacte de l’eczéma est inconnue, cependant certains facteurs génétiques, immunologiques et environnementaux y jouent un rôle. L’eczéma peut disparaître et réapparaître, et se déplacer le long du corps; alors qu’une lésion disparaît, une autre peut survenir. Telle est la nature chronique de l’affection. Lorsque la peau reprend son cycle inflammatoire, le patient éprouve une poussée.

Eczéma atopique
L’eczéma atopique est la forme la plus commune d’eczéma et est étroitement lié à l’asthme et au rhume des foins. Il touche à la fois les enfants et les adultes, et est généralement héréditaire. L’un des symptômes les plus courants de l’eczéma atopique est la démangeaison (prurit), qui peut devenir presque insupportable. D’autres symptômes incluent la sécheresse de la peau, la rougeur et l’inflammation. Des démangeaisons constantes peuvent aussi entraîner un craquement de la peau, ce qui la rend vulnérable face aux infections. En présence d’eczéma infecté, la peau peut craquer et suinter, et des pustules peuvent apparaître. Les traitements incluent des agents émollients pour garder l’hydratation de la peau et des corticostéroïdes pour réduire l’inflammation.

Eczéma de contact allergique (ECA)
L’ECA survient lorsque le système immunitaire de l’organisme réagit à une substance à la suite d’un contact avec la peau. La réaction allergique se manifeste pendant un certain temps à la suite de contacts répétés avec la substance. Par exemple, une réaction allergique peut survenir en présence de nickel, qui entre souvent dans la composition des boucles d’oreilles, des boutons-pression sur les camisoles de bébés, des boucles de ceintures et des boutons de jeans. Des réactions peuvent aussi survenir après un contact avec d’autres substances comme des parfums ou du caoutchouc. Dans le but de prévenir les réactions récurrentes, il vaut mieux éviter tout contact avec tout ce qui, à votre connaissance, provoque une éruption cutanée.

Dermatite de contact irritant
Il s’agit d’un type d’eczéma causé par des contacts fréquents avec des substances du quotidien, comme des détergents et des produits chimiques, qui irritent la peau. Il se manifeste le plus souvent sur les mains d’adultes et peut être prévenu en évitant les irritants et en gardant la peau hydratée. Il touche communément les patients qui présentent un eczéma atopique.

Dermatite séborrhéique infantile
Affection qui touche les bébés de moins d’un an, dont la cause exacte est inconnue. Aussi appelée « calotte séborrhéique », elle apparaît généralement d’abord sur le cuir chevelu ou les fesses et se répand rapidement. Bien que ce type d’eczéma puisse paraître déplaisant, il ne cause ni douleur ni démangeaisons. Le bébé n’en est donc pas incommodé. Habituellement, il disparaît en quelques mois, mais l’utilisation de crèmes hydratantes et d’huiles pour le bain peut l’éradiquer plus rapidement.

Dermatite séborrhéique de l’adulte
Elle touche typiquement les adultes âgés de 20 à 40 ans et apparaît généralement sur le cuir chevelu sous forme de pellicules légères, mais peut s’étendre au visage, aux oreilles et à la poitrine. La peau devient rougeâtre, enflammée et squameuse. On croit que cette affection est causée par la prolifération d’une levure. En présence d’infection, un traitement par un antifongique en crème peut s’imposer.

Eczéma variqueux
L’eczéma variqueux se manifeste sur les jambes inférieures des personnes d’âge moyen ou avancé, en raison d’une mauvaise circulation sanguine. La peau entourant les chevilles est généralement touchée, prenant un aspect tacheté. Des démangeaisons et de l’inflammation apparaissent également. Le traitement se compose de crèmes émollientes et de corticostéroïdes. En l’absence de traitement, la peau peut se dégrader et aboutir à un ulcère.

Eczéma discoïde
Touche généralement les adultes et survient soudainement. Ce type d’eczéma est caractérisé par la présence de quelques lésions rougeâtres, de la grosseur d’une pièce de monnaie, habituellement sur le tronc ou les jambes inférieures. Ces lésions deviennent prurigineuses et peuvent être suintantes. Le traitement de l’eczéma discoïde comprend généralement des crèmes émollientes (et des corticostéroïdes au besoin).

Complications de l’eczèma

Les infections cutanées, l’eczéma herpétiforme, la névrodermite et les troubles oculaires sont des exemples de complications de l’eczéma.

Infections cutanées
Le grattage associé à l’eczéma peut endommager la peau et laisser des plaies ouvertes qui peuvent s’infecter. L’infection peut être bénigne ou plus grave. Consultez un médecin en présence d’enflure, de douleur, de formation de croûte ou de suintement des plaques d’eczéma.

Eczéma herpétiforme
On appelle eczéma herpétiforme une peau infectée par le virus de l’herpès simplex (celui qui cause le bouton de fièvre). Les symptômes peuvent inclure des cloques ou des plaies douloureuses remplies de pus ou de liquide, pouvant s’accompagner de fièvre, de fatigue ou de ganglions tuméfiés. Il importe de traiter rapidement, car l’infection risque de se propager aux yeux ou aux organes internes et entraîner des problèmes sérieux.

Il faut user de prudence en présence d’une personne présentant un bouton de fièvre (« feu sauvage »); les baisers et les contacts directs avec la peau doivent être évités. Il convient de prendre des précautions additionnelles avec les nourrissons et les enfants, surtout s’ils ont des lésions d’eczéma ou des plaies ouvertes sur la peau. Il arrive que le virus de l’herpès simplex soit mortel chez les nourrissons et les jeunes enfants. Si vous avez des inquiétudes à ce sujet, consultez un médecin sans tarder.

Névrodermite
Avec le temps, le grattage et les démangeaisons cutanées peuvent augmenter la sensation de prurit, ce qui peut entraîner une névrodermite (lichen simplex chronique). Les régions de la peau qui sont fréquemment grattées s’épaississent, et des plaques peuvent être plus rouges et foncées que le reste de la peau. Le grattage persistant peut entraîner un changement permanent de la couleur de la peau. Consultez un médecin en cas de démangeaisons intenses ou de changements notables de la couleur de la peau.

Troubles oculaires
Dans de rares cas, une forme grave de dermatite atopique peut entraîner des troubles oculaires pouvant potentiellement causer des dommages permanents aux yeux. Consultez un médecin en présence de larmoiement, d’inflammation autour de l’œil ou d’écoulement oculaire.

Dysfonctionnement de la barrière cutanée

La peau est une barrière contre le monde extérieur. Plutôt imperméable, elle empêche les éléments et les bactéries d’envahir les organes et les systèmes internes de notre organisme. Chez les patients atteints d’eczéma atopique, cette barrière ne fonctionne pas bien, c’est-à-dire qu’elle est endommagée, perd son humidité et peut permettre aux bactéries de proliférer et de s’introduire dans l’organisme (ce qui cause des infections bactériennes sur la peau). La perte de l’humidité entraîne le dessèchement et les gerçures cutanés. La prise en charge de l’eczéma a pour but de restaurer l’humidité et de créer une barrière pour protéger la peau. C’est pour cette raison que les hydratants peuvent être bénéfiques.

Poussées et éléments déclencheurs

Les poussées peuvent être causées par des irritants environnementaux, ou « déclencheurs », par exemple certains savons, détergents pour la lessive ou déodorants, les fibres de tapis ou la poussière. Il arrive toutefois qu’une poussée survienne sans aucune cause apparente. Un environnement surchauffé, une transpiration surabondante, un taux d’humidité trop faible, certains aliments et le stress peuvent aussi contribuer aux poussées. Quand la peau est irritée par l’un de ces facteurs, elle démange, ce qui pousse la personne concernée à se gratter. Le grattage aggrave l’affection, et la peau devient enflammée et rougeâtre, ce qui augmente les démangeaisons. On appelle ce phénomène le « cycle de démangeaisons-grattage »; il peut s’aggraver et entraîner des douleurs.

Dans ces cas, il y a lieu d’identifier l’agent responsable qui peut aller des poils d’animaux jusqu’à la poussière de maison, en passant par les teintures, le rouge à lèvres, les assouplissants, les produits ménagers ou professionnels.

Une enquête a mis en cause les polluants de l’atmosphère ainsi que les additifs dans les aliments : produits chimiques industriels dans le lait maternel qui ne peuvent pas être facilement éliminée mais stockée dans la graisse + absence de GLA (acide gamma-linolénique). Le lait de vache est particulièrement suspect en raison de l’exposition de l’animal à des herbicides et des pesticides. Pour cette raison, le lait de chèvre a rencontré un certain succès dans le traitement de cette condition, comme le lait de soja. Chef d’allergies stimulateurs: les produits laitiers, les œufs, le lait de vache. Attention aux allergies à colorants de cheveux.

Le rôle des allergies alimentaires

Certains aliments peuvent déclencher une poussée, tout comme d’autres déclencheurs environnementaux. Cette réaction peut survenir en mangeant l’aliment déclencheur ou lors du contact avec celui-ci au moment de le préparer ou de le consommer (sur les mains et autour de la bouche). Il est important de noter que les allergies alimentaires ne causent pas l’eczéma. Cependant, certains aliments peuvent déclencher une poussée. On ne recommande pas d’éliminer des aliments particuliers ou tout un groupe d’aliments pour de longues périodes sans avoir consulté un médecin ou allergologue pour confirmer qu’il existe en fait une allergie associée à cet aliment. Les tests cutanés d’allergie peuvent fournir des indices sur les allergies alimentaires et environnementales. Cependant, les patients atteints d’eczéma atopique ont un taux élevé de résultats faux positifs, car le fait de se gratter pendant le test peut causer une inflammation, qui peut être interprétée incorrectement comme une réaction allergique. L’utilisation d’antihistaminiques peut aussi influer sur l’efficacité des tests allergiques. Consultez votre allergologue au sujet de l’eczéma et des traitements médicaux avant de passer un test.

Traitements allopathiques

Traitements topiques anti-inflammatoires :
Corticostéroïdes topiques prescrits pour réduire l’inflammation et les démangeaisons. Ces onguents sont de concentrations variées, allant de douces à très fortes. Utilisés selon les directives d’un médecin, les corticostéroïdes topiques sont très efficaces et sûrs. Par crainte de certains effets secondaires, il arrive souvent que les personnes eczémateuses ou leurs soignants utilisent ces onguents de façon parcimonieuse ou ne les utilisent pas aussi souvent qu’elles le devraient. Un des effets indésirables possibles est l’amincissement de la peau, si la préparation est appliquée en excès ou de façon prolongée. Suivez exactement les consignes de votre médecin et discutez avec lui si vous avez des questions ou des préoccupations.

Immunomodulateurs topiques (p. ex., Elidel®, ProtopicMD) prescrits pour réduire l’inflammation et les démangeaisons. Ils peuvent être utilisés pendant de courtes périodes intermittentes, à moins d’avis contraire de votre médecin. Parmi leurs effets secondaires possibles, mentionnons une sensation de brûlure faible ou modérée au site d’application. Ce type de traitement n’est pas recommandé pour les enfants de moins de deux ans.

Antibiotiques :
Antibiotiques topiques prescrits pour contrer les infections secondaires qui peuvent aggraver l’eczéma et faire en sorte que l’organisme réagisse moins au traitement contre l’eczéma, jusqu’à ce que l’infection bactérienne ait disparu. Les plaques localisées d’eczéma infecté ou d’eczéma résistant peuvent être traitées au moyen de crèmes ou d’onguents antibiotiques topiques. La mupirocine (p. ex., Bactroban®) et l’acide fusidique (p. ex., Fucidin®) ont démontré leur efficacité.

Traitements topiques d’association (p. ex., Fucidin H®) associant Fucidin® à de l’hydrocortisone à faible concentration. Ils aident à réduire à la fois l’inflammation et à enrayer l’infection secondaire en une seule application. L’élimination des infections est une composante importante de la prise en charge de l’eczéma.

Antibiotiques oraux prescrits dans le cas d’infections cutanées plus importantes. Il y a souvent une infection secondaire sur les plaques d’eczéma, même si les signes d’infection ne sont pas toujours évidents. On privilégiera les antibiotiques oraux aux antibiotiques topiques dans les cas où l’infection est considérable.

Émulsion pour réparer la barrière cutanée :
EpiCeram® est une nouvelle crème réparatrice de la barrière cutanée exempte de corticostéroïdes qui peut être utilisée sans danger à tout âge. Il s’agit d’une émulsion thérapeutique qui répare la barrière cutanée et dont la composition unique renferme divers lipides (gras) qui sont absents de la peau de nombreux patients atteints de dermatite atopique (eczéma). EpiCeram a entraîné des bienfaits similaires à ceux obtenus avec un corticostéroïde topique de puissance modérée lors de comparaisons directes visant à évaluer l’amélioration de l’eczéma. Epiceram est une émulsion thérapeutique de réparation de la barrière cutanée qui présente une composition unique de 3-1-1 des lipides essentiels qui sont manquants chez les patients souffrant de dermatite atopique (eczéma). Informez-vous auprès de votre médecin pour en savoir plus sur ce traitement.

Corticostéroïdes oraux (p. ex., la prednisone) rarement prescrits. Ceux-ci sont réservés aux cas les plus graves. Des effets secondaires à long terme sont associés à un usage prolongé et, étant donné que l’eczéma est une affection chronique, ce traitement n’est pas une solution permanente aux cas d’eczéma graves.

Antihistaminiques :
Antihistaminiques utilisés pour soulager les démangeaisons et favoriser le sommeil. Les démangeaisons sont généralement plus intenses la nuit (les activités diurnes aident aussi à diminuer leur intensité). Si vous augmentez l’hydratation de votre peau (par des bains et l’application régulière d’un hydratant) et que vous parvenez à maîtriser votre eczéma, vous devriez avoir moins besoin de recourir à des antihistaminiques, car les démangeaisons nocturnes devraient diminuer. L’utilisation d’antihistaminiques par des enfants de six ans ou moins doit faire l’objet d’une discussion avec leur médecin.


Hernie discale

La hernie discale est une maladie du disque intervertébral. Jouant le rôle d’amortisseur entre deux vertèbres, ces disques s’usent avec le temps et peuvent parfois se déformer ou sortir de leur enveloppe.



Hémochromatose

C’est une maladie autosomique récessive responsable d’une accumulation progressive de fer dans les différents tissus de l’organisme, notamment le foie, le pancréas et le coeur.

Le fer dans l’organisme, dont les réserves sont estimées entre 3 et 5g, se répartit de la façon suivante :

  • hémoglobine : 60 % du fer total
  • myoglobine : 3 % du fer de l’organisme
  • organes de réserve (foie, rate et moelle osseuse) : 30 % du fer de l’organisme. Le fer est stocké sous deux formes : la ferritine, forme de réserve facilement mobilisable, et l’hémosidérine, difficilement mobilisable
  • compartiment de transport plasmatique : constitué de fer transferrinique. Il représente 1 pour mille du fer total de l’organisme.

Conséquences sur l’organisme :

  • L’excès de fer tissulaire a un rôle diabétogène. En effet, l’accumulation intracellulaire du fer provoque un dysfonctionnement des hépatocytes et des cellules bêta du pancréas causant des troubles du métabolisme du glucose et de l’insuline.
  • Une toxicité du fer sur les chondrocytes et la plaque cartilagineuse pourraient expliquer la pathogénie des atteintes musculaires de l’hémochromatose génétique
  • L’accumulation intratissulaire de fer se fait préférentiellement au niveau de l’épicarde et il se constitue progressivement une cardiomyopathie hypertrophique aux dépens du ventricule gauche.
  • L’atteinte cardiaque serait moins fréquente que le diabète ou la cirrhose.


Spondylarthrite ankylosante

Une inflammation chronique attaquant les articulations de la colonne vertébrale et sacro-iliaque (voire intercostale). Parfois associée avec l’anémie, les colites…

Causes possibles : Facteurs génétiques, réponse immunitaire anormale suite à une infection…

Symptômes : Rigidité tenace et douleurs dans le bas du dos, faible ampliation thoracique. Pire au lever et après de l’inactivité. Développement de cette rigidité dans le cou et le dos…

A Surveiller : les yeux.



Rhumatismes

Les maladies rhumatismales recouvrent un large groupe de maladies.

Cela inclut :

  • Les troubles inflammatoires des muscles,
  • La rigidité des articulations
  • Les formes variées d’arthrite

Le traitement diffère en fonction du type : Spondylarthrite ankylosante, Arthrite, Arthrite juvénile, Arthrite associée aux intestins, Arthrite gonococcique, Arthrite infectieuse, Arthrite due à la lèpre, Arthrite due à une hépatite infectieuse, Lupus érythémateux disséminé (LED), Arthrite ménopausal, Arthrite à cause d’une attaque d’oreillons, Arthrite ostéopathique, Arthrite psoriasique, Arthrite rhumatoïde, Arthrite tuberculeuse, Maladie de Charcot, Maladies du collagène, Aponévrite, Goutte, Lumbago, Syndrome de Marfan, Maladie osseuse de Paget, Polymyalgie rhumatismale, Fièvre rhumatismale, Syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter, Sclérodermie, Syndrome de Gougerot-Sjögren.

Il y a un opinion consensuelle de l’ensemble des praticiens qu’un régime alimentaire à base de poissons est de grande valeur pour la plupart de ces maladies rhumatismales (cf Huiles de poissons).

Pour la douleur :

  • Un substitut de l’aspirine sera trouvé dans l’écorce de saule blanc, qui est plus acceptable pour l’estomac,
  • Maintenir un niveau faible en zinc.

Un étude norvégienne a montré qu’un changement vers une alimentation végétarienne stabilise les acides gras et réduit l’inflammation des maladies rhumatismales :

  • Pendant les premiers 7 à 10 jours, les patients n’étaient autorisés à uniquement manger de l’ail, des tisanes, des soupes et jus de légumes.
  • Chaque second jour étaient mangés des aliments, ne contenant ni viande, ni gluten.
  • Pendant les 3 premiers mois, citron, sel, sucre rafiné, thé, café, épices fortes, alcool, produits laitiers (y compris le lait) étaient évités.
  • Après cette période, les produits laitiers et l’alimentation contenant du gluten ont été progressivement réintroduit dans le régime quotidien.

Des améliorations notoires ont été observées dans la douleur et le gonflement des articulations.

Eviter les citrons et jus de citrons.
En effet, en premier, le jus peut dissoudre quelques calculs du corps, mais après avoir nettoyé le sang, il commence par nettoyer le calcium des muscles puis celui des os, qui est lié à la dégénération.


Dermatite séborrhétique

La dermatite séborrhéique est une maladie de la peau comportant une inflammation avec desquamation de lambeaux gras de peau morte. La dermatite séborrhéique est une affection bénigne, inesthétique, qui touche le cuir chevelu et le visage de l’adulte ou du nourrisson. Le terme séborrhéique vient du mot « sébum » qui désigne la graisse fabriquée par la peau. Le retentissement psychologique de la dermatite séborrhéique peut être important avec un impact négatif sur la qualité de vie des patients atteints.

Risques / Causes

La dermatite séborrhéique (Chosidow O et al. Dermatite séborrhéique. Ann Dermatol Venereol 2002 ; 129 : S191-S193) est une maladie de peau chronique assez fréquente : 1 à 3 % de la population en France seraient atteints.
Elle évolue en fonction de l’âge et se manifeste rarement avant la puberté ; le pic de fréquence de la dermatite séborrhéique se situe entre 18 et 40 ans et elle n’atteint quasiment que les hommes. Elle diminue après 40 ans.
La dermatite séborrhéique est une pathologie bénigne ; seul le retentissement psychologique peut avoir des conséquences néfastes.

La dermatite séborrhéique survient dans les régions dites séborrhéiques, c’est-à-dire riches en sébum. Cependant, le sébum ne joue probablement qu’un rôle facilitateur de la prolifération d’un champignon cutané : le Malassezia furfur.
En effet, le Malassezia furfur est présent en forte densité dans les zones atteintes par la dermatite séborrhéique. Il existe également d’autres facteurs qui interviennent dans l’apparition de cette maladie : climatiques, neurologiques, psychologiques, médicamenteux…

Seborrheic dermatitis is a skin condition involving inflammation with bold strips of peeling dead skin. Seborrheic dermatitis is a benign condition, unsightly, affecting the scalp and face adult or infant. Seborrheic The term comes from the word « sebum » meaning fat produced by the skin. The psychological impact of seborrheic dermatitis can be important with a negative impact on the quality of life of patients.

Risks / Causes

Seborrheic dermatitis (Chosidow O et al Ann Dermatol Venereol Seborrheic Dermatitis 2002; 129:.. S191-S193) is a disease quite common chronic skin: 1 to 3% of the population in France would be achieved.
It evolves with age and rarely occurs before puberty; the peak frequency of seborrheic dermatitis is between 18 and 40 years and it almost reached the men. It decreases after 40 years.
Seborrheic dermatitis is a benign pathology; only the psychological impact can have adverse consequences.

Seborrheic dermatitis occurs in so-called seborrhoeic areas, that is to say rich in sebum. However, sebum probably plays a role of facilitating the proliferation of a skin fungus: Malassezia furfur.
Indeed, Malassezia furfur is present in high density in the areas affected by seborrheic dermatitis. There are also other factors involved in the occurrence of this disease: Climate, neurological, psychological, medical …

Déprime ou dépression

Les manifestations dépressives légères et transitoires ou « déprime » regroupent un ensemble de symptômes où l’on retrouve une baisse de l’intérêt pour les tâches quotidiennes, une tristesse, des troubles du sommeil (une insomnie le plus souvent), des troubles de l’appétit (boulimie ou anorexie), des troubles d’humeur (plutôt de l’irritabilité). Mais ces symptômes n’ont pas la gravité d’une dépression vraie ou caractérisée. Ils durent peu, quelques jours, une à deux semaines au plus. Le retour à des sentiments plus optimistes est généralement rapide. Au delà de deux semaines de déprime permanente, il faut se poser la question d’une dépression durable c’est-à-dire de l’entrée dans une maladie dépressive.

Risques

Le risque principal des états dépressifs légers et transitoires est d’évoluer en dépression durable caractérisée, d’autant plus qu’il existe des facteurs de risque comme la vie solitaire : veuvage, divorce, séparation (Facteurs de risque des épisodes dépressifs en population générale, DREES 2006). La dépression nerveuse est une véritable maladie mentale qu’il faut traiter médicalement. Il est donc important de comprendre que des manifestations dépressives légères et transitoires ne sont pas à prendre à la légère.
La dépression est la première cause de suicide : près de 70% des personnes qui décèdent par suicide souffrent d’une dépression, le plus souvent non diagnostiquée ou non traitée (Livret INPES, En savoir plus pour en sortir, 2007). Les décès par suicide ont tendance à diminuer (-10% chez les hommes entre 2000 et 2006 et -6% chez les femmes), mais pas dans toutes les classes d’âge. Le taux de suicide des 45-54 ans a augmenté : de façon modérée pour les femmes (+2,2% entre 2000 et 2006) et plus soutenue pour les hommes (+8%) (L’état de santé de la population en France, DRESS, 2011).

The mild and transient depressive symptoms or « blues » are a group of symptoms which found a decline of interest in daily activities, sadness, sleep problems (insomnia more often), disorders of the appetite (anorexia or bulimia), mood disorders (rather irritability). But these symptoms do not have the gravity of a real or major depression. They had just a few days, one to two weeks. The return to more optimistic feelings is usually quick. Beyond two weeks of permanent depression, one must ask the question of a lasting depression that is to say, entering a depressive illness.

Risks

The main risk of mild and transient depression is to evolve into lasting depression characterized, especially that there are risk factors such as the solitary life: widowhood, divorce, separation (episodes of depression risk factors in the general population , DREES 2006). The depression is a real mental illness that must be treated medically. It is therefore important to understand that in mild and transient depressive symptoms are not to be taken lightly.
Depression is the leading cause of suicide: almost 70% of people who die by suicide are suffering from depression, often undiagnosed or untreated (INPES booklet, More to come out, 2007). Suicide deaths tend to decrease (-10% for men between 2000 and 2006 and 6% in women), but not in all age groups. 45-54 age suicide rate has increased: moderately for women (+ 2.2% between 2000 and 2006) and sustained for men (8%) (The health status of the population in France, DRESS, 2011).

Dépression nerveuse

Au travers du terme « dépression » se cachent différentes formes de syndromes dépressifs :
• Le syndrome dépressif typique (ou encore épisode dépressif majeur), forme plutôt brève de dépression, d’intensité variable, avec des trouble évoluant depuis plus de 15 jours.
• Le trouble dysthymique, forme atténuée de dépression mais évoluant depuis plus de 2 ans avec une répercussion sociale importante
• La dépression rattachée à un trouble bipolaire, maladie psychiatrique chronique définie par une variabilité extrême de l’humeur alternant entre états dépressifs et maniaques.

Causes

Les zones du cerveau qui gèrent l’humeur, les émotions et l’affectivité fonctionnent mal (système limbique). Comme elles sont liées aux zones qui gèrent la mémoire, les apprentissages, et qui traitent l’information et lui donne sens (cognition), la dépression entraîne aussi des troubles de la mémoire, des apprentissages et de l’intellect.
On constate des perturbations de la sécrétion des messagers chimiques neuronaux qui modulent les émotions : la sérotonine en particulier. De telles perturbations neurochimiques sont possibles (mais pas systématiques) lors de la prise de certains médicaments, en tant qu’effets indésirables. Les plus connues de ces prescriptions sont les bêtabloquants, les anti-ulcéreux (anti-H2), la méthyl-dopa (contre la maladie de Parkinson), ou les corticoïdes et les neuroleptiques…

Through the term « depression » lurk various forms of depressive syndromes:
• The typical depressive syndrome (or major depressive episode) form rather brief depression of variable intensity, with disorder lasting for more than 15 days.
• The dysthymic disorder, depression attenuated form, but evolving for over 2 years with a major social impact
• Depression linked to bipolar disorder, chronic psychiatric illness defined by an extreme variability of mood alternating between manic and depressive states.

Causes

The areas of the brain that manage mood, emotions and affectivity malfunctioning (limbic system). As they relate to areas that support memory, learning, and that process information and gives it meaning (cognition), depression also leads to impaired memory, learning and intellect.
It is observed disturbance of the secretion of neural chemical messengers that modulate emotions especially serotonin. Such neurochemical disturbances are possible (but not systematic) when taking certain medications, bills undesirable. The best known of these requirements are beta-blockers, anti-ulcer (H2 blockers), methyl-dopa (against Parkinson’s disease) or corticosteroids, and neuroleptics …

Démangeaison de la peau

Le prurit est le terme médical pour caractériser la démangeaison de la peau, qui conduit à se gratter pour apaiser la sensation désagréable. La « grattouille » est due à la stimulation de certains récepteurs nerveux de la peau, par des substances comme l’histamine. Cette libération locale de substances excitatrices n’a pas toujours de cause évidente : un prurit peut exister sans qu’il y ait de lésion dermatologique.

Causes

Lésion cutanée
Le prurit peut accompagner une lésion cutanée. Il « suffit » au patient, ou au médecin, de la reconnaître pour connaître la cause du prurit

Prurit Sensation de démangeaisons cutanées dont les causes peuvent être diverses : maladie de peau, signe d’une affection générale, ou pouvant survenir sans cause identifiable (prurit sine materia).

et la traiter en conséquence. Les situations les plus fréquentes sont l’eczéma atopique, l’urticaire (allergie alimentaire, de contact, médicamenteuse, ou par piqûres d’insectes), infections cutanées par des champignons (dermatophyties), la gale (maladie très contagieuse causée par le sarcopte et favorisée par une mauvaise hygiène), les coups de soleil (lucite estivale), les piqûres d’insectes, ou encore des allergies à certains médicaments (toxidermies médicamenteuses), enfin la varicelle.

Maladies du foie
En l’absence de lésion cutanée, on recherche d’autres causes organiques générales, comme des maladies du foie. La cholestase hépatique (bile bloquée, mal produite ou mal évacuée vers l’intestin) provoque l’accumulation des sels biliaires dans le sang, accumulation qui s’exprime par un prurit et une jaunisse de la peau. L’insuffisance rénale, certains cancers, leucémies ou lymphomes, maladies de la thyroïde ou des glandes parathyroïdes, l’infection par le VIH, ou les infections parasitaires, provoquent aussi des démangeaisons cutanées.

Peau sèche
Si toutes ses causes organiques ont été éliminées, on retiendra une peau sèche (xérose cutanée), particulièrement lors de l’avance en âge : la peau vieillissante (sénile) réagit plus souvent par une démangeaison à toutes sortes d’agression.

Psychologique
Enfin, en dernier recours, on évoque un « prurit psychogène », c’est-à-dire dû à la tension psychologique. Ce qui n’est pas le plus facile à soigner…

Itching is the medical term to describe the itching of the skin, which leads to scratching to soothe the discomfort. The « Scratch’n » is due to the stimulation of certain nerve receptors in the skin, with substances such as histamine. This local release of excitatory substances not always obvious cause: itching can exist without dermatological lesions.

Causes

Skin lesion
Itching may accompany a skin lesion. He « enough » to the patient or physician, to recognize it for the cause of pruritus

Itching sensation of itchy skin, the causes can be diverse: skin disease, indicating a general affection, or can occur without identifiable cause (pruritus sine materia).

and treat it accordingly. The most common situations are atopic eczema, urticaria (food allergy, contact, medication, or insect bites), skin infections by fungi (dermatophytes), scabies (highly contagious disease caused by the mite and favored by poor hygiene), sunburn (summer light eruption), insect bites, or allergies to certain drugs (drug toxidermia) finally chickenpox.

Liver Diseases
In the absence of cutaneous lesions, one research other general organic causes, such as liver disease. Hepatic cholestasis (blocked bile, poorly produced or incorrectly evacuated to the intestine) causes the accumulation of bile salts in the blood accumulation which is expressed by itching and jaundice of the skin. Kidney disease, certain cancers, leukemias or lymphomas, diseases of the thyroid or parathyroid glands, HIV infection, or parasitic infections, also cause skin itching.

Dry skin
If all organic causes have been eliminated, dry skin (cutaneous xerosis) we note, especially when advancing age: aging skin (senile) reacts usually by an itch to all kinds of aggression.

Psychological
Finally, as a last resort, it evokes a « psychogenic pruritus », that is to say, due to the psychological tension. This is not the easiest to treat …

Categories