au coeur de la NATURE…
Perte de Poids

Le désir de perdre du poids est alimenté par les médias, l’industrie cosmétique… Nous vivons dans un monde à solution rapide… Un poids excessif est un symptôme de digestion et de métabolisme perturbés.

En savoir plus…

Naturopathie

Consultation pour Revitaliser tous vos systèmes, Optimiser votre puissance naturelle de guérison, Nettoyer vos toxines, Soigner la cause des maladies..

En savoir plus...

U

Troubles du système urinaire

Le système urinaire est constitué 2 reins, qui forment et excrètent l’urine. Un bon fonctionnement du système urinaire est essentiel afin de maintenir l’équilibre entre l’eau et les substances qui y sont dissoutes, ainsi que l’équilibre acidobasique. Ce système est actif dans l’élimination des déchets résultant de la dégradation (le catabolisme) des protéines cellulaires dans le foie.

100 à 150 litres de filtrat sont formés chaque jour par les deux reins et 1 à 1,5 litres sont excrétés sous forme d’urine. A l’exception des globules, les protéines des plaquettes de sang et toutes les autres composantes sanguines doivent passer par les reins.

Les calculs biliaires dans le foie et dans la vésicule biliaire réduisent la quantité de bile nécessaire pour digérer convenablement la nourriture. Une bonne partie de la nourriture non digérée commence à fermenter et putréfier, faisant ainsi passer des déchets toxiques dans le sang et dans la lymphe.

Quand les toxines acides sont déchargées dans le tissu conjonctif plus rapidement qu’elles ne sont neutralisées par le bicarbonate de soude secrété par le corps dans le sang et éliminées par les organes excréteurs. L’épaississement du tissu conjonctif par les déchets empêche l’absorption des éléments nutritifs, l’eau et l’oxygène par les cellules des organes, souffrant de sous-alimentation, de déshydratation et du manque d’oxygène.

Les protéines d’origine animale, en tant que substances des plus acides, sont mal traitées par le foie, quand il est obstrué par les calculs biliaires. Les protéines excessives sont « temporairement » emmagasinées dans le tissu conjonctif, puis sont transformées en fibre de collagène. Les fibres de collagène sont stockées dans les membranes basales peuvent devenir jusqu’à 10 fois plus épaisses que normales. Une situation similaire se passe dans les artères. Vu que les parois des vaisseaux sanguins deviennent de plus en plus encombrées, moins de protéines peuvent quitter le sang. Vu que les parois des vaisseaux sanguins deviennent de plus en plus encombrées, moins de protéines peuvent quitter le sang. Ceci mène à un épaississement du sang, ce qui le rend de plus en plus difficile à filtrer par les reins. En même temps, les membranes basales des vaisseaux sanguins qui nourrissent les reins, deviennent aussi encombrées, ce qui les rend dures et rigides. Au plus, la tension à l’intérieur augmente, au plus les reins souffrent et commencent à dégénérer. De plus en plus de déchets métaboliques, excrétés par les cellules rénales, et qui sont normalement éliminés via les vaisseaux sanguins veineux et les conduits lymphatiques, s’accumulent dans les reins et affaiblissent d’autant plus leur fonctionnement.

Les reins ne peuvent plus maintenir l’équilibre de liquides et d’électrolytes dans le corps. Les composantes urinaires peuvent précipiter, former des cristaux et des calculs de types, de tailles diverses. Des calculs urinaires acides dans l’urine dépasse 2-4 mg %. L’acide urique est un dérivé de la transformation des protéines dans le foie. Les calculs formés suite à des concentrations d’acide urique supérieures à 4 mg % peuvent mener à une obstruction urinaire, à une infection des reins et, finalement, à l’échec rénal.

Comme les cellules des reins sont de plus en plus privées d’éléments nutritifs vitaux, y compris d’oxygène, des tumeurs malignes peuvent s’y développer. Les cristaux d’acide urique qui ne sont pas éliminés par les reins peuvent se loger dans les articulations et causer du rhumatisme, la goutte et de la rétention d’eau.

Un sang toxique, rempli de petites molécules, de déchets et d’un excès de protéines provoque un mauvais fonctionnement des reins jusqu’aux maladies : l’hypertension, l’hypotension, une urine brun sombre, une soif excessive, une augmentation de la miction, une faible quantité d’urine par jour (500 ml), la pression dans la vessie, pigmentation de la peau et plus brune, chevilles gonflées…

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Cystites et infections urinaires féminines

Les cystites sont des inflammations de la vessie, le plus souvent causées par des bactéries, plus rarement par des virus, des champignons, ou des parasites. Certaines, rares, sont liées à des maladies auto-immunes.

Les cystites sont fréquentes chez les femmes, dont l’anatomie favorise la colonisation bactérienne rétrograde de leur vessie par les microbes du tube digestif (anus).
Les cystites sont dites « aiguës simples » quand les patients ne présentent que des signes vésicaux d’apparition brutale. Elles sont dites compliquées lorsqu’existent des signes de gravité ou des complications.

Les cystites aiguës sont dites récidivantes lorsqu’on en souffre trois fois et plus dans une année, lorsqu’on recense 2 autres épisodes dans les 6 derniers mois, ou que le dernier épisode remonte à moins de 3 mois.

Les cystites interstitielles sont des inflammations durables de la paroi vésicale, par altération cellulaire et dégradation de la protection locale, sans précision des causes.

Les cystites à « urines claires » sont des inflammations sans infection. Elles pourraient représenter quatre cystites sur dix en consultation médicale de ville (Etude BaCyst, Journées Nationales d’Infectiologie, 2011).

Risques

Très peu de données épidémiologiques pour une pathologie qui selon les spécialistes toucherait une femme sur deux au cours de sa vie (Collège universitaire des enseignants en néphrologie, 2011). Les cystites représentent la deuxième localisation infectieuse en médecine générale, après les infections respiratoires.

Leur répercussion sur la qualité de vie est nette en raison de la douleur, surtout si ces infections se répètent. Leur fréquence augmentant avec l’activité génitale, elles peuvent freiner la vie sexuelle considérablement.

Les cystites infectieuses peuvent se compliquer, par extension de l’infection aux reins, la pyélonéphrite, puis par passage dans le sang (septicémie). La pyélonéphrite provoque de la fièvre (38-39°), des frissons, une douleur lombaire brutale du côté du rein atteint. La pyélonéphrite non soignée fait courir un risque de détérioration définitive du rein atteint. C’est une urgence médicale.

Une cystite chez un homme est en soi une cystite compliquée, car son anatomie fait normalement obstacle à l’infection.
Une cystite chez la femme enceinte et la femme ménopausée est compliquée d’office. Elle requiert une prise en charge médicale rapide.

Les autres facteurs de gravité permettant de parler de cystite compliquée sont :

– la rechute précoce moins de 7 jours après le traitement d’une précédente cystite et les récidives fréquentes ;
– la présence de sang visible dans les urines (autres diagnostics à évoquer impérativement) ;
– les anomalies de l’appareil urinaire (reflux urétéral, etc.) ;
– les maladies associées favorisant l’infection (diabète, cancer, immunodépression, maladie de foie) ;
– les calculs dans la vessie ou les reins.

Cystitis are bladder inflammation, usually caused by bacteria, more rarely by viruses, fungi, or parasites. Certain, rare, are related to autoimmune diseases.

Cystitis are common in women, whose anatomy promotes bacterial colonization of their retrograde bladder by microbes of the digestive tract (anus).
Cystitis are called « single severe » when patients have only bladder signs of sudden onset. They are called complex where viable signs of severity or complications.

Acute cystitis is called recurrent when it suffers three or more times in a year, when two lists other episodes in the last six months, or the last episode goes back less than three months.

Interstitial cystitis are durable inflammation of the bladder wall, by cellular damage and degradation of local protection, unspecified causes.

Cystitis to « clear urine » is inflammation without infection. They could represent four ten cystitis city medical consultation (Study BaCyst, National Days of Infectious Diseases, 2011).

Risks

Very few epidemiological data to a condition that according to specialists affect one in two women in his life (University College Teachers nephrology, 2011). Cystitis is the second infectious localization in general medicine, after respiratory infections.

Their impact on the quality of life is clear due to pain, especially if these infections are repeated. Their frequency increases with genital activity, they can stop the sexual life considerably.

Infectious cystitis may be complicated by extension of kidney infection, pyelonephritis, and then by passing through the blood (sepsis). Pyelonephritis causes fever (38-39 °), chills, back pain brutal side of the affected kidney. The untreated pyelonephritis poses a risk of permanent damage kidney reached. This is a medical emergency.

Cystitis in a man is in itself a complicated cystitis because its anatomy normally prevent infection.
Cystitis in pregnant women and postmenopausal women is complicated automatically. It requires taking rapid medical care.

Other factors of gravity to speak of complicated cystitis are:

– Early relapse within 7 days after treatment of a previous cystitis and frequent recurrences;
– The presence of visible blood in the urine (other diagnoses to evoke essential);
– Abnormalities of the urinary tract (ureter reflux, etc.);
– Associated diseases favoring infection (diabetes, cancer, immunosuppression, liver disease);
– Calculations in the bladder or kidneys.

Cancer du col de l’utérus

L’utérus est un organe creux, en forme de poire, situé dans la partie inférieure de l’abdomen de la femme, entre la vessie et le rectum. L’embryon s’y développe depuis la fécondation de l’œuf jusqu’à la naissance.

Pendant la grossesse, la taille de l’utérus augmente. Quand la femme n’est pas enceinte, l’utérus est de petite taille (une dizaine de centimètres de long).

La partie inférieure la plus étroite de l’utérus, qui ouvre sur le vagin, est le col ; les tumeurs apparaissant sur cette partie de l’utérus sont appelées cancers du col de l’utérus

Causes

Il peut apparaître dans toutes les tranches d’âge à partir de 25-30 ans. Il n’est pas lié à des facteurs héréditaires, mais à une infection par un virus de la famille des papillomavirus (HPV), sexuellement transmissible.

Le cancer du col de l’utérus, tout comme les autres cancers, n’est pas contagieux. Mais le HPV, lui, l’est. C’est un virus extrêmement répandu, qui peut provoquer des lésions précancéreuses (dites condylomes ou dysplasies), dont la gravité augmente avec le temps et qui, si elles ne sont pas traitées, risquent parfois de dégénérer et de former un cancer.

A l’inverse, les femmes non infectées par le HPV ont un risque nul de développer un cancer du col.

The uterus is a hollow member, pear-shaped, in the lower abdomen of women, between the bladder and the rectum. The embryo develops there from fertilization of the egg until birth.
During pregnancy, the uterine size increases. When the woman is not pregnant, the uterus is small (ten centimeters long).
The narrower lower part of the uterus that opens into the vagina, is the neck; tumors appearing on this part of the uterus are called cancer cervix.

Causes

It may appear in all age ranges from 25-30 years. It is not linked to hereditary factors but with infection by a virus of the family papillomavirus (HPV), sexually transmitted.
Cervical cancer of the uterus, like other cancers, is not contagious. But HPV, he is. This is an extremely common virus that can cause precancerous lesions (called dysplasia or genital warts), the severity increases with time and that, if left untreated, may sometimes degenerate and form a cancer.
Conversely, non-HPV-infected women have no risk of developing cervical cancer.

Cancer du col de l’uterus

Les cancers de l’utérus débutent presque toujours au niveau de l’endomètre. C’est pourquoi on parle le plus souvent de “cancers de l’endomètre”. Il en existe plusieurs types, mais le carcinome est de loin le plus fréquent.

Tant qu’ils restent localisés (pas d’extension de la tumeur vers d’autres organes), ces cancers sont de bon pronostic. D’après l’étude Eurocare 4 rendue officielle en 2009, l’espérance de vie à 5 ans des patientes ayant eu un cancer de l’endomètre est de 73%.

Causes

Le cancer de l’endomètre survient généralement après la ménopause, chez des femmes âgées de 55 à 70 ans. Les facteurs de risque sont nombreux : l’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension, le fait de ne pas avoir eu d’enfants, la ménopause tardive… Le cancer de l’endomètre peut parfois être lié à des facteurs héréditaires. Il est alors associé dans les familles à un risque élevé de cancer du côlon et plus rarement de l’ovaire.

Certains traitements peuvent exposer au risque de cancer de l’utérus. C’est en particulier le cas des traitements hormonaux mal conduits ou des traitements affectant le fonctionnement des hormones féminines œstrogènes. C’est la raison pour laquelle une surveillance gynécologique attentive est nécessaire lorsqu’on a reçu un traitement aux anti-œstrogènes dans le cadre de la prise en charge d’un cancer du sein.

Uterine cancers almost always begin at the endometrium. This is why most often is called « endometrial cancers. » There are several types, but the carcinoma is by far the most common.

As long as they remain localized (no spread of the tumor to other organs), these cancers have a good prognosis. According to Eurocare 4 study made official in 2009, life expectancy at 5 years for patients who had endometrial cancer is 73%.

Causes

Endometrial cancer usually occurs after menopause in women aged 55 to 70 years. The risk factors are numerous: age, obesity, diabetes, hypertension, the fact of not having had children, late menopause … Endometrial cancer can sometimes be associated with hereditary factors. It is then associated in families at high risk of colon cancer, and more rarely the ovary.

Some treatments can expose to the risk of uterine cancer. This is particularly the case of hormonal treatments or treatments behaved badly affecting the functioning of the female hormone estrogen. This is why a gynecological careful monitoring is required when received treatment with antiestrogens under the management of breast cancer.

Calculs urinaires

Les calculs urinaires (ou urolithiases) sont des cristaux de sels qui se forment dans l’appareil urinaire. Le rein, l’uretère (reliant le rein à la vessie), la vessie ou l’urètre (reliant la vessie au méat urinaire) sont concernés par la formation de calculs urinaires.

Les petits calculs s’éliminent naturellement mais les plus gros sont responsables de douleurs lorsqu’ils ne peuvent être évacués : on parle de colique néphrétique.

Risques / Causes

2 à 3 % de la population générale souffrent de lithiase urinaire. Les hommes sont un peu plus concernés que les femmes et le rein gauche est plus souvent atteint que le rein droit.

En cas de récidives des crises, le risque est une atteinte du rein lui-même, avec diminution de son fonctionnement (insuffisance rénale).

Différents types de calculs sont en cause en fonction de leur composition. On distingue des calculs liés à la cristallisation de calcium, d’acide urique ou encore de cystine.

Une alimentation riche en protéines favorise les calculs ; une faible absorption de boissons est à l’origine d’urines concentrées propices à la formation de calculs. De même, certaines anomalies du sang avec un excès de calcium ou d’acide urique favorisent les calculs urinaires.

Urinary calculi (or urolithiasis) are salt crystals that form in the urinary tract. Kidney, ureter (connecting the kidney to the bladder), the bladder or the urethra (connecting the bladder to the meatus) are involved in the formation of urinary stones.

The small stones naturally eliminate the biggest but are responsible for pain when they can not be removed: one speaks of renal colic.

Risks / Causes

2 to 3% of the general population suffer from urolithiasis. Men are affected slightly more than women and the left kidney is usually reached the right kidney.

In case of recurrence of crises, risk is a violation of the kidney itself with decreased functioning (kidney failure).

Different types of calculations are involved according to their composition. It differs from the crystallization of calcium-related calculations, uric acid or cystine.

A high protein diet promotes the calculations; low absorption drinks is causing urine concentrated conducive to the formation of stones. Similarly, certain abnormal blood with an excess of calcium or uric acid promote urinary calculi.

Categories