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Artériopathie Oblitérante des Membres Inférieurs (AOMI)

L’artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI, qu’on appelle également artérite des membres inférieurs), correspond au rétrécissement voire à l’occlusion d’une artère au niveau de la cuisse, de la jambe ou du pied.La diminution du débit sanguin entraîne en aval une asphyxie cellulaire par insuffisance d’irrigation (ischémie). L’ischémie locale peut entraîner une gangrène (mort tissulaire) de tout ou partie de la zone mal irriguée (jambe, pied, orteil). Selon les cas, elle peut être brutale ou chronique.
Elle survient presque toujours dans un contexte d’athérosclérose, dite maladie athéromateuse, c’est-à-dire une détérioration globale des vaisseaux sanguins par un ou plusieurs facteurs de risque cardio-vasculaire : tabagisme, diabète, hypertension artérielle, hypercholestérolémie, obésité, sédentarité.

Risques

L’AOMI est largement sous-évaluée, sous-diagnostiquée et sous-traitée (Beckman et coll. Circulation, 2006). L’étude française Ellipse (2008) conclut que presque la moitié des patients hospitalisés (42%) dans divers services hospitaliers ont une AOMI méconnue lorsqu’on la recherche par l’indice de pression systolique. Des données issues de l’étude américaine NHANES en population générale (Pande et coll. Circulation, publication électronique du 20 juin 2011) montre une prévalence de l’AOMI à 6% chez les plus de 40 ans.
L’extrapolation à la population française est délicate, mais sans doute proche, les conditions de vie européennes copiant les conditions américaines. Une enquête IPSOS pour la Société française de Médecine Vasculaire (Des pas pour la vie, 2007) montre que 6% des 65 à 69 ans ont une claudication intermittente, signe clinique central de l’AOMI. D’après la Haute Autorité de Santé (recommandations de 2006), 10 à 20% des plus de 55 ans présentent une AOMI asymptomatique, autrement dit silencieuse.
L’AOMI s’inscrivant dans une atteinte généralisée de la paroi des vaisseaux, l’athérosclérose, elle impose de rechercher une atteinte au cerveau et au cœur en raison du risque associé d’accident vasculaire cérébral (AVC), d’infarctus du myocarde ou de mort subite. Il est à noter que la présence ou pas de signes cliniques (douleur à la marche, indice de pression systolique au-dessus du seuil de prise en charge) ne change rien aux complications et aux décès (Etude GetABI, 2007).
Selon une étude française (Aboyans et coll. JACC, 2010) le fait d’avoir une artérite touchant les artères très haut dans le petit bassin témoigne d’un risque trois fois supérieur de faire un accident cardio-vasculaire, par rapport à une artérite touchant le pied ou la jambe. Cela dit, les artérite distales (de la jambe et/ou du pied) sont à plus grand risque d’amputation.

The peripheral artery disease (PAD, also known as peripheral arterial disease) is the narrowing or occlusion of an artery at the thigh of the leg or decreased flow pied.La blood drives downstream cellular asphyxia by lack of irrigation (ischemia). The local ischemia can lead to gangrene (tissue death) of all or part of the poorly irrigated area (leg, foot, toe). Depending on circumstances, it may be sudden or chronic.
It almost always occurs in a context of atherosclerosis, known as atherosclerosis, that is to say an overall deterioration of the blood vessels of one or more cardiovascular risk factors: smoking, diabetes, high blood pressure, high cholesterol, obesity, sedentary lifestyle.

Risks

The PAD is largely undervalued, under-diagnosed and under-treated (Beckman et al. Circulation 2006). The French study Ellipse (2008) concluded that almost half of hospitalized patients (42%) in various hospital departments have an unrecognized PAD when research by the index of systolic pressure. Data from the US NHANES general population (Pande et al. Circulation, electronic publication of the June 20, 2011) shows a prevalence of PAD to 6% in people over 40 years.
The extrapolation to the French population is tricky, but probably close, European living conditions copying the American conditions. An IPSOS survey for the French Society of Vascular Medicine (Steps for Life, 2007) shows that 6% of 65 to 69 have intermittent claudication, central clinical sign of PAD. According to the High Authority of Health (2006 recommendations), 10-20% of people over 55 years have asymptomatic PAD, ie silent.
The PAD is part of a systemic involvement of the vessel wall, atherosclerosis, it necessary to consider an attack to the brain and heart because of the associated risk of stroke (stroke), myocardial infarction or sudden death. It should be noted that the presence or absence of clinical signs (pain on walking, systolic pressure index above the support level) does not change the complications and deaths (GetABI Study, 2007).
According to a French study (Aboyans et al. JACC 2010) having a high arteritis affecting arteries in the pelvis shows a three times higher risk of making a cardiovascular event, compared with arteritis affecting the foot or leg. That said, the distal arteritis (the leg and / or foot) are at greater risk of amputation.

Anorexie Mentale

L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire qui consiste à limiter volontairement sa nourriture par peur de prendre du poids et de grossir. Ce n’est pas une perte de l’appétit ou une diminution de la sensation de faim.
La distorsion de la perception du corps induit une spirale d’amaigrissement illimité : jusqu’à 50 % du poids normal, avec un risque mortel bien présent. Malheureusement une caractéristique de l’anorexie est le déni, qui rend très difficile la prise en charge médicale et psychologique.

Risques

Outre l’amaigrissement, l’anorexie mentale s’accompagne de complications physiques dues à la privation alimentaire : ostéoporose précoce qui débute 6 mois après le début de la perte de poids (40 % des adolescentes anorexiques), œsophagite (inflammation de l’œsophage due aux vomissements répétés), souffrance cardiaque à l’effort, retard de croissance, troubles sanguins, atteinte rénale et troubles métaboliques.

Cette pathologie met la vie en jeu lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) est inférieur à 12 ou 13.
On estime à 10 % la mortalité : la moitié par tentatives de suicide, ce qui représente 15 à 20 % des patientes ; la moitié par cachexie (dénutrition sévère).

Dans un tiers des cas, lorsque l’anorexie est prise à temps, la guérison est possible avec une reprise de la vie normale. Dans un tiers des cas, les anorexiques présentent, outre leur trouble alimentaire, d’autres troubles comportementaux, comme les phobies, qui réclament une prise en charge spécifique.

Anorexia nervosa is an eating disorder that involves voluntarily limiting her food for fear of gaining weight and growing. This is not a loss of appetite or decreased hunger.
The distortion of body perception induces an unlimited slimming spiral up to 50% of normal weight, with a very present risk of death. Unfortunately a feature of anorexia is denial, which makes it very difficult medical and psychological care.

Risks

Besides weight loss, anorexia nervosa is accompanied by physical complications due to food deprivation: Early osteoporosis starting six months after the start of weight loss (40% of anorexic adolescents), esophagitis (inflammation of the esophagus due to repeated vomiting), heart pain on exertion, growth retardation, blood disorders, kidney damage and metabolic disorders.
This condition is life-play when the body mass index (BMI) is less than 12 or 13.
An estimated 10% mortality: half by suicide attempts, representing 15-20% of patients; half by cachexia (severe malnutrition).
In a third of cases where anorexia is caught in time, recovery is possible with a return to normal life. In a third of cases, anorexics present, besides their eating disorder, other behavioral disorders, such as phobias, which require a specific treatment.

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